Le président du Comité économique et social européen, Georges Dassis, a déclaré samedi à Yamoussoukro (Centre ivoirien), où il a effectué une visite, que son Institution soutient "une répartition plus équitable des richesses" en Côte d’Ivoire, confrontée à une grogne sociale ces dernières semaines.
"Ce que mon Institution a fait et doit faire, c’est soutenir tous (ceux) qui œuvrent, afin que la liberté d’expression soit garantie, qu’il y ait une répartition plus équitable possible des richesses (et) que toutes les personnes aient droit à une vie descente", a affirmé M. Dassis.
"Ces derniers jours, ce qui a retenti en Europe, c’est surtout les bruits de grève (…), de fusils, et cela ne donne pas une très belle image de la Côte d’Ivoire", a reconnu le gouverneur du district autonome de Yamoussoukro, Augustin Thiam, qui a dit vouloir profiter du passage du président du Comité économique européen "pour offrir une image plus apaisée, plus calme" de son pays.
Entre le 6 et 20 janvier, plusieurs villes ivoiriennes, dont Abidjan ont connu des mutineries de soldats qui réclamaient des primes.
Du 9 au 27 janvier, les fonctionnaires de Côte d’Ivoire ont observé une grève pour exiger le paiement d’un stock d’arriérés de salaire et une bonification à 150 points de l’indice salarial.
ATI
"Ce que mon Institution a fait et doit faire, c’est soutenir tous (ceux) qui œuvrent, afin que la liberté d’expression soit garantie, qu’il y ait une répartition plus équitable possible des richesses (et) que toutes les personnes aient droit à une vie descente", a affirmé M. Dassis.
"Ces derniers jours, ce qui a retenti en Europe, c’est surtout les bruits de grève (…), de fusils, et cela ne donne pas une très belle image de la Côte d’Ivoire", a reconnu le gouverneur du district autonome de Yamoussoukro, Augustin Thiam, qui a dit vouloir profiter du passage du président du Comité économique européen "pour offrir une image plus apaisée, plus calme" de son pays.
Entre le 6 et 20 janvier, plusieurs villes ivoiriennes, dont Abidjan ont connu des mutineries de soldats qui réclamaient des primes.
Du 9 au 27 janvier, les fonctionnaires de Côte d’Ivoire ont observé une grève pour exiger le paiement d’un stock d’arriérés de salaire et une bonification à 150 points de l’indice salarial.
ATI