En visite à la Chambre Nationale des Métiers de Côte d’Ivoire (CNMCI), le ministre du commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba a promis s’impliquer pour permettre aux artisans ivoiriens de sortir de l’informel.
« En Côte d’Ivoire nous avons de bon artisans, menuisiers, maçons... Ce sera donc un grand chantier pour nous. Nous allons lancer des programme de formation à cours, moyen et long terme pour nos jeunes en collaboration avec les autres ministères impliqués pour amener les artisans à sortir de l’informel » a-t-il promis.
Selon lui, il faut conjuguer les efforts pour apporter une nouvelle impulsion au développement de ce secteur qui représente une base importante dans l’émergence de notre économie à l’horizon 2020.
Poursuivant, il a souligné que le chef de l’État, Alassane Ouattara a remis ensemble les PME les artisans et le commerce pour créer une parfaite synergie entre les trois entités.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba a également présenté sa vision du secteur de l’artisanat à l’horizon 2020, un « secteur qui soit représentatif, mieux structuré et visible », car, soutient-il, « la promotion de l’artisanat peut apporter des solutions à la lutte contre la pauvreté, à la création d’emplois et à la réduction du chômage ».
En effet, la valorisation du secteur de l’artisanat qui représente 40% de la population active de notre pays et 12 % de PIB, est inscrite en priorité dans le plan national de développement (PND 2016-2020).
Cette valorisation passera nécessairement par la création d’infrastructures modernes de promotion et de commercialisation, le renforcement de compétences des artisans, la mise en place d’un mécanisme de financement approprié au secteur de l’artisanat et la vulgarisation et la mise en œuvre du code de l’artisanat communautaire.
En ce qui concerne les doléances formulées par le Président de la CNMCI, Bamba Kassoum, dont la construction d’un siège digne à la Chambre Nationale des Métiers, la problématique de la mise en place de mécanismes de financement, la vulgarisation du code de l’artisanat et le recasement des artisans sur les sites retenus de N’Dotré, Abobo Sagbé, le Ministre Diarrassouba dit avoir pris bonne note, promettant d’apporter rapidement des solutions.
Il a aussi prié le ministre de faire prendre tous les décrets qui règlementent le secteur de l’Artisanat, au nombre de 10 au total (trois décrets ont été signés), les aider à instituer au niveau de la Chambre des métiers, des recettes de service afin de permettre à son institution d’avoir les moyens nécessaires pour son bon fonctionnement, des recettes qui proviendront des prélèvements sur la vente de certains produits artisanaux.
« En Côte d’Ivoire nous avons de bon artisans, menuisiers, maçons... Ce sera donc un grand chantier pour nous. Nous allons lancer des programme de formation à cours, moyen et long terme pour nos jeunes en collaboration avec les autres ministères impliqués pour amener les artisans à sortir de l’informel » a-t-il promis.
Selon lui, il faut conjuguer les efforts pour apporter une nouvelle impulsion au développement de ce secteur qui représente une base importante dans l’émergence de notre économie à l’horizon 2020.
Poursuivant, il a souligné que le chef de l’État, Alassane Ouattara a remis ensemble les PME les artisans et le commerce pour créer une parfaite synergie entre les trois entités.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba a également présenté sa vision du secteur de l’artisanat à l’horizon 2020, un « secteur qui soit représentatif, mieux structuré et visible », car, soutient-il, « la promotion de l’artisanat peut apporter des solutions à la lutte contre la pauvreté, à la création d’emplois et à la réduction du chômage ».
En effet, la valorisation du secteur de l’artisanat qui représente 40% de la population active de notre pays et 12 % de PIB, est inscrite en priorité dans le plan national de développement (PND 2016-2020).
Cette valorisation passera nécessairement par la création d’infrastructures modernes de promotion et de commercialisation, le renforcement de compétences des artisans, la mise en place d’un mécanisme de financement approprié au secteur de l’artisanat et la vulgarisation et la mise en œuvre du code de l’artisanat communautaire.
En ce qui concerne les doléances formulées par le Président de la CNMCI, Bamba Kassoum, dont la construction d’un siège digne à la Chambre Nationale des Métiers, la problématique de la mise en place de mécanismes de financement, la vulgarisation du code de l’artisanat et le recasement des artisans sur les sites retenus de N’Dotré, Abobo Sagbé, le Ministre Diarrassouba dit avoir pris bonne note, promettant d’apporter rapidement des solutions.
Il a aussi prié le ministre de faire prendre tous les décrets qui règlementent le secteur de l’Artisanat, au nombre de 10 au total (trois décrets ont été signés), les aider à instituer au niveau de la Chambre des métiers, des recettes de service afin de permettre à son institution d’avoir les moyens nécessaires pour son bon fonctionnement, des recettes qui proviendront des prélèvements sur la vente de certains produits artisanaux.
