Abidjan - La ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Kandia Camara a plaidé jeudi auprès des syndicats du secteur Education/Formation pour une trêve sociale, afin d’éviter une année blanche dans le système éducatif.
Pour la ministre, une nouvelle grève dans l’éducation équivaudrait à une année blanche. Selon elle, il n’est pas évident que les examens puissent être organisés si les cours sont interrompus par des mouvements de grève . Dans ce cas, a-t-elle expliqué, les examens à grand tirage au titre de cette année scolaire seront repoussés au mois d’août qui correspond aux grandes vacances.
Elle a en outre demandé aux enseignants notamment aux syndicats de préserver les droits des enfants quelque soit la situation, rappelant que l’instruction est l’un des droits fondamentaux de l’enfant. « Donnez la chance à nos enfants de devenir comme vous, de participer demain au développement de notre pays », a-t-elle exhorté.
Soulignant par ailleurs que la Côte d’Ivoire consacre 5 % du produit intérieur brute(PIB) et 25 % de son budget à l’éducation, elle a toutefois relevé que le pays se classe parmi les derniers de la Conférence des ministres de l’éducation des pays africains et malgache d’expression française (CONFEMEN), à cause des crises successives survenues en Côte d'Ivoire et aussi du fait des grèves à répétition dans le secteur de l’éducation.
ti/tad/kam
Pour la ministre, une nouvelle grève dans l’éducation équivaudrait à une année blanche. Selon elle, il n’est pas évident que les examens puissent être organisés si les cours sont interrompus par des mouvements de grève . Dans ce cas, a-t-elle expliqué, les examens à grand tirage au titre de cette année scolaire seront repoussés au mois d’août qui correspond aux grandes vacances.
Elle a en outre demandé aux enseignants notamment aux syndicats de préserver les droits des enfants quelque soit la situation, rappelant que l’instruction est l’un des droits fondamentaux de l’enfant. « Donnez la chance à nos enfants de devenir comme vous, de participer demain au développement de notre pays », a-t-elle exhorté.
Soulignant par ailleurs que la Côte d’Ivoire consacre 5 % du produit intérieur brute(PIB) et 25 % de son budget à l’éducation, elle a toutefois relevé que le pays se classe parmi les derniers de la Conférence des ministres de l’éducation des pays africains et malgache d’expression française (CONFEMEN), à cause des crises successives survenues en Côte d'Ivoire et aussi du fait des grèves à répétition dans le secteur de l’éducation.
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