La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto a décliné vendredi son ambition de promouvoir cette année une gouvernance environnementale, lors d’une réunion de prise de contact à Abidjan avec les acteurs de ce secteur d’activité.
« Nous devons œuvrer à promouvoir la salubrité, garantir la protection de l'environnement sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs besoins de développement », a indiqué Mme Ouloto. Elle a réaffirmé sa volonté de faire de la salubrité, un pilier de l’ivoirien nouveau pour satisfaire à cette préoccupation importante du citoyen de la Côte d'Ivoire.
Le ministre a expliqué que le taux moyen de collecte des déchets à Abidjan par exemple, est estimé à 70%, non sans déplorer que les 30% restants soient dans la nature, dégradant l’image des villes de la Côte d’Ivoire. « Le tableau du secteur est toujours en deçà du niveau acceptable souhaité pour tous. L’état actuel de la salubrité reste préoccupant », a-t-elle déploré.
Selon Anne Ouloto, des efforts conséquents seront encore faits cette année pour que dès l’an prochain, il ne soit plus question d’insalubrité en Côte d’Ivoire. « Je crois en un devenir meilleur de notre pays, notre cauchemar pour la propreté du district d’Abidjan sera bientôt un vieux souvenir », a-t-elle soutenu.
« J’appelle tous les acteurs à la mobilisation, à la synergie d’actions, au civisme et à la détermination pour construire ensemble notre résilience sociale, économique, culturelle et environnementale face aux défis globaux de l’heure. C’est en cela que nous parviendrons à faire de la Côte d’Ivoire un pays propre où il fait bon vivre », a conclu Anne Ouloto.
gak/akn/kam
« Nous devons œuvrer à promouvoir la salubrité, garantir la protection de l'environnement sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs besoins de développement », a indiqué Mme Ouloto. Elle a réaffirmé sa volonté de faire de la salubrité, un pilier de l’ivoirien nouveau pour satisfaire à cette préoccupation importante du citoyen de la Côte d'Ivoire.
Le ministre a expliqué que le taux moyen de collecte des déchets à Abidjan par exemple, est estimé à 70%, non sans déplorer que les 30% restants soient dans la nature, dégradant l’image des villes de la Côte d’Ivoire. « Le tableau du secteur est toujours en deçà du niveau acceptable souhaité pour tous. L’état actuel de la salubrité reste préoccupant », a-t-elle déploré.
Selon Anne Ouloto, des efforts conséquents seront encore faits cette année pour que dès l’an prochain, il ne soit plus question d’insalubrité en Côte d’Ivoire. « Je crois en un devenir meilleur de notre pays, notre cauchemar pour la propreté du district d’Abidjan sera bientôt un vieux souvenir », a-t-elle soutenu.
« J’appelle tous les acteurs à la mobilisation, à la synergie d’actions, au civisme et à la détermination pour construire ensemble notre résilience sociale, économique, culturelle et environnementale face aux défis globaux de l’heure. C’est en cela que nous parviendrons à faire de la Côte d’Ivoire un pays propre où il fait bon vivre », a conclu Anne Ouloto.
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