La Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, Anne Désiré Ouloto a rencontré, le 3 février 2017, à la Maison des Entreprises, au Plateau, au cours d’une réunion officielle de prise de contact, ses collaborateurs et les partenaires techniques et financiers de son département ministériel pour décliner sa vision et obtenir leur implication réelle et participative dans le processus d’application des règles de salubrité, de protection des ressources naturelles et du développement durable de la Côte d’Ivoire.
La Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, Anne Désiré Ouloto a affirmé que « la Côte d’Ivoire est consciente des enjeux stratégiques de l’environnement et du développement durable, dans sa marche vers l’émergence ».
Voilà pourquoi, elle les a bien inscrits dans sa Constitution de novembre 2016 notamment dans le préambule. Mais pour elle, les défis à relever sont nombreux car il s’agit d’offrir « un cadre de vie sain et agréable dont l’essor repose sur la prise en compte des dimensions environnementale, économique et sociale du développement » et d’assurer « la promotion de la salubrité, Garantir la protection de l’environnement sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs besoins de développement ».
La Ministre Anne Ouloto a toutefois dépeint le tableau du secteur qui, selon elle, est « toujours en deçà du niveau acceptable » lié à des facteurs tels que « l’insuffisance de financement, de ressources humaines qualifiées, de ressources matérielles et logistiques appropriées, l’incivisme des populations et la faiblesse de la synergie d’action entre les différentes parties prenantes ».
Rappelant que de nombreuses initiatives ont été prises par le Gouvernement, et que des actions majeures ont été menées, notamment la consolidation du financement du secteur des déchets ménagers et assimilés en le faisant passer de 18 milliards de FCFA à 30 milliards FCFA, la ratification de l’accord de Paris sur les changements climatiques en octobre 2016, le Plan d’intervention d’urgence contre les pollutions accidentelles en mer, en lagune et dans la zone côtière, dénommé Plan POLLUMAR et une tolérance zéro pour l’orpaillage sauvage, la Ministre s’est voulue rassurante, indiquant que l’espoir est permis parce que les perspectives sont nombreuses et encourageantes.
« L’environnement étant un secteur transversal, la résolution des problématiques environnementales majeures nécessite une synergie d’actions », a-t-elle fait remarquer, et de citer quelques actions majeures.
A savoir l’adoption du Code de la Salubrité et la création la bourse des déchets, la définition de la lettre de politique sectorielle de la salubrité urbaine, la fermeture, la réhabilitation de la décharge sauvage d’Akouédo, la construction de deux centres d’enfouissement techniques, l’élaboration de la stratégie nationale genre et climat et la promotion de l’économie verte sur l’ensemble des secteurs de production.
Pour sa part, Valerie Gnébry, directrice des ressources humaines dudit Ministère a au nom du personnel réaffirmé son engagement à la soutenir dans sa mission et de faire de la question de l’environnement un pilier du concept de l’Ivoirien nouveau.
La Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, Anne Désiré Ouloto a affirmé que « la Côte d’Ivoire est consciente des enjeux stratégiques de l’environnement et du développement durable, dans sa marche vers l’émergence ».
Voilà pourquoi, elle les a bien inscrits dans sa Constitution de novembre 2016 notamment dans le préambule. Mais pour elle, les défis à relever sont nombreux car il s’agit d’offrir « un cadre de vie sain et agréable dont l’essor repose sur la prise en compte des dimensions environnementale, économique et sociale du développement » et d’assurer « la promotion de la salubrité, Garantir la protection de l’environnement sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs besoins de développement ».
La Ministre Anne Ouloto a toutefois dépeint le tableau du secteur qui, selon elle, est « toujours en deçà du niveau acceptable » lié à des facteurs tels que « l’insuffisance de financement, de ressources humaines qualifiées, de ressources matérielles et logistiques appropriées, l’incivisme des populations et la faiblesse de la synergie d’action entre les différentes parties prenantes ».
Rappelant que de nombreuses initiatives ont été prises par le Gouvernement, et que des actions majeures ont été menées, notamment la consolidation du financement du secteur des déchets ménagers et assimilés en le faisant passer de 18 milliards de FCFA à 30 milliards FCFA, la ratification de l’accord de Paris sur les changements climatiques en octobre 2016, le Plan d’intervention d’urgence contre les pollutions accidentelles en mer, en lagune et dans la zone côtière, dénommé Plan POLLUMAR et une tolérance zéro pour l’orpaillage sauvage, la Ministre s’est voulue rassurante, indiquant que l’espoir est permis parce que les perspectives sont nombreuses et encourageantes.
« L’environnement étant un secteur transversal, la résolution des problématiques environnementales majeures nécessite une synergie d’actions », a-t-elle fait remarquer, et de citer quelques actions majeures.
A savoir l’adoption du Code de la Salubrité et la création la bourse des déchets, la définition de la lettre de politique sectorielle de la salubrité urbaine, la fermeture, la réhabilitation de la décharge sauvage d’Akouédo, la construction de deux centres d’enfouissement techniques, l’élaboration de la stratégie nationale genre et climat et la promotion de l’économie verte sur l’ensemble des secteurs de production.
Pour sa part, Valerie Gnébry, directrice des ressources humaines dudit Ministère a au nom du personnel réaffirmé son engagement à la soutenir dans sa mission et de faire de la question de l’environnement un pilier du concept de l’Ivoirien nouveau.