Des soupçons de meurtre soulevés après la mort de l’opposant historique, Etienne Tshisekedi.
Ce vendredi 3 février, les avocats du Mouvement citoyen Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (Nogec)) ont déposé une requête en vue de l’ouverture d’une enquête sur le décès du leader de l’UDPS, Étienne Tshisekedi à Bruxelles à 84 ans.
La requête est adressée au Procureur général de de la République près la Cour Suprême de justice à Kinshasa -Gombe.
La note du Nogec dont Politikafrique.info a reçu copie s’interroge sur les propos à controverse du ministre de l’énergie tenus le 29 janvier dernier et la mort d’Etienne Tshisekedi.
Selon la requête, le ministre de l’énergie, Willy Mishiki, au cours d’une émission télévisée, aurait soutenu « d’un air rassuré et convaincu », avec précision, que « le président Tshisekedi ne rentrerait pas vivant sur la terre de ses ancêtres », écrit le document.
Et d’ajouter, « attendu qu’il est un droit pour le Negoc et le peuple congolais de s’interroger sur la corrélation possible entre la certitude des propos publics tenus par M.Willy Mishiki et leur éventuelle incidence sur la disparition du président », le collectif d’avocats a donc saisi la justice congolaise à l’effet de faire la lumière sur cette affaire.
C’est quatre jours après les propos du ministre que la mort d’Etienne Tshisekedi, chef de fil de l’opposition congolaise, a été annoncée.
Hospitalisé depuis le 24 janvier à Bruxelles, Etienne Tshisekedi est décédé d’une embolie pulmonaire ce 1er février à l’âge de 84 ans. Son corps n’a pas encore été transféré dans son pays.
Gnoungo Fanta
Ce vendredi 3 février, les avocats du Mouvement citoyen Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (Nogec)) ont déposé une requête en vue de l’ouverture d’une enquête sur le décès du leader de l’UDPS, Étienne Tshisekedi à Bruxelles à 84 ans.
La requête est adressée au Procureur général de de la République près la Cour Suprême de justice à Kinshasa -Gombe.
La note du Nogec dont Politikafrique.info a reçu copie s’interroge sur les propos à controverse du ministre de l’énergie tenus le 29 janvier dernier et la mort d’Etienne Tshisekedi.
Selon la requête, le ministre de l’énergie, Willy Mishiki, au cours d’une émission télévisée, aurait soutenu « d’un air rassuré et convaincu », avec précision, que « le président Tshisekedi ne rentrerait pas vivant sur la terre de ses ancêtres », écrit le document.
Et d’ajouter, « attendu qu’il est un droit pour le Negoc et le peuple congolais de s’interroger sur la corrélation possible entre la certitude des propos publics tenus par M.Willy Mishiki et leur éventuelle incidence sur la disparition du président », le collectif d’avocats a donc saisi la justice congolaise à l’effet de faire la lumière sur cette affaire.
C’est quatre jours après les propos du ministre que la mort d’Etienne Tshisekedi, chef de fil de l’opposition congolaise, a été annoncée.
Hospitalisé depuis le 24 janvier à Bruxelles, Etienne Tshisekedi est décédé d’une embolie pulmonaire ce 1er février à l’âge de 84 ans. Son corps n’a pas encore été transféré dans son pays.
Gnoungo Fanta