Abidjan– La Côte d’Ivoire enregistre une prévalence de 38% d’excision, révèle la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Prof Mariatou Koné, dans le cadre de la Journée mondiale de lutte contre les mutilations génitales féminines (MGF) commémorée ce lundi.
« Ces mutilations représentent des pratiques culturelles qui portent atteinte à l’intégrité physique de l’être humain, de la femme en particulier », explique la ministre dans une Déclaration. Dans le pays, poursuit-elle, l’excision est la forme la plus pratiquée, avec une prévalence nationale de 38%.
Aussi, l’Etat de Côte d’Ivoire entend-il s’approprier les stratégies de lutte innovantes et assurer la coordination des interventions de toutes les parties prenantes, qu’il s’agisse des actions de prévention ou de prise en charge holistique, ajoute Prof Mariatou Koné.
Les MGF sont considérées comme une forme de violence faite aux filles et aux femmes. Elles constituent des actes de violation des droits humains et une grave menace pour leur santé, notamment sur les plans psychologique, sexuel et procréatif.
Dix-neuf ans après l’adoption de la loi sur les mutilations génitales féminines en Côte d’Ivoire, l’Etat ne ménage aucun effort pour la répression à travers une application rigoureuse de la loi relative à la lutte contre l’excision, rassure la ministre.
akn/cmas
« Ces mutilations représentent des pratiques culturelles qui portent atteinte à l’intégrité physique de l’être humain, de la femme en particulier », explique la ministre dans une Déclaration. Dans le pays, poursuit-elle, l’excision est la forme la plus pratiquée, avec une prévalence nationale de 38%.
Aussi, l’Etat de Côte d’Ivoire entend-il s’approprier les stratégies de lutte innovantes et assurer la coordination des interventions de toutes les parties prenantes, qu’il s’agisse des actions de prévention ou de prise en charge holistique, ajoute Prof Mariatou Koné.
Les MGF sont considérées comme une forme de violence faite aux filles et aux femmes. Elles constituent des actes de violation des droits humains et une grave menace pour leur santé, notamment sur les plans psychologique, sexuel et procréatif.
Dix-neuf ans après l’adoption de la loi sur les mutilations génitales féminines en Côte d’Ivoire, l’Etat ne ménage aucun effort pour la répression à travers une application rigoureuse de la loi relative à la lutte contre l’excision, rassure la ministre.
akn/cmas