Korhogo - Le préfet de police de Korhogo, Kouamé Boittini, juge le niveau de sécurité "acceptable" à Korhogo et dans les trois régions de la Bagoué, du Tchologo et du Poro placées sous sa responsabilité.
Selon lui, la criminalité a progressivement baissé depuis 2014, année de sa prise de fonction, suite à l’interpellation de nombreux bandits.
"Notre réconfort, c’est de savoir que le citoyen, aujourd’hui, peut dormir tranquille , le risque de voir arracher ses biens étant réduit", a-t-il déclaré lundi à des journalistes, commentant l’arrestation de deux « dangereux » coupeurs de routes présumés.
Même s’il admet la persistance de "quelques cas de vols" de motos sur la voie publique, le patron de la police à Korhogo soutient que "certaines activités criminelles" comme les attaques à mains armées de commerce ou de domicile "ont disparu".
Cette sécurité relative dans les régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué a été instaurée grâce, en partie, à l’amélioration des rapports entre la police et la population qui favorise une meilleure circulation des renseignements, a souligné le commissaire divisionnaire Kouamé Boittini.
kaem/fmo
Selon lui, la criminalité a progressivement baissé depuis 2014, année de sa prise de fonction, suite à l’interpellation de nombreux bandits.
"Notre réconfort, c’est de savoir que le citoyen, aujourd’hui, peut dormir tranquille , le risque de voir arracher ses biens étant réduit", a-t-il déclaré lundi à des journalistes, commentant l’arrestation de deux « dangereux » coupeurs de routes présumés.
Même s’il admet la persistance de "quelques cas de vols" de motos sur la voie publique, le patron de la police à Korhogo soutient que "certaines activités criminelles" comme les attaques à mains armées de commerce ou de domicile "ont disparu".
Cette sécurité relative dans les régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué a été instaurée grâce, en partie, à l’amélioration des rapports entre la police et la population qui favorise une meilleure circulation des renseignements, a souligné le commissaire divisionnaire Kouamé Boittini.
kaem/fmo