Abidjan- Le gouvernement condamne les formes violentes de revendications qui « ternissent l’image du pays » et « amenuisent les ressources de l’Etat », a déclaré mercredi son porte parole, Bruno Koné, à l’issue d’un conseil des ministres présidé par le Président Alassane Ouattara.
Faisant le lien avec la mutinerie déclenchée la veille dans la localité d’Adiaké, Bruno Koné a estimé que ce type de revendications trouble malheureusement l’économie. « Dans tous les cas de figure, cela se termine par des discussions. Calmons les choses et discutons chaque fois qu’un problème se pose », a-t-il préconisé.
Il a expliqué que cette pratique, « risque d’amenuiser les ressources de l’Etat et lui donner moins de possibilité de traiter les questions posées ». Bruno Koné a ajouté que des discussions sont en cours avec les mutins pour cerner leurs revendications.
Des tirs nourris ont été entendus mardi, dans la ville d’Adiaké (Sud, région du Sud-Comoé) en provenance du camp militaire des forces spéciales basées dans la ville. Ces tirs ont à nouveau repris ce mercredi matin après une nuit calme.
Ces coups de feu ont créé une panique générale dans la localité, entraînant la fermeture des écoles, commerces, banques et autres administrations. Les raisons de ces tirs n’ont pas encore été élucidées.
gak/fmo
Faisant le lien avec la mutinerie déclenchée la veille dans la localité d’Adiaké, Bruno Koné a estimé que ce type de revendications trouble malheureusement l’économie. « Dans tous les cas de figure, cela se termine par des discussions. Calmons les choses et discutons chaque fois qu’un problème se pose », a-t-il préconisé.
Il a expliqué que cette pratique, « risque d’amenuiser les ressources de l’Etat et lui donner moins de possibilité de traiter les questions posées ». Bruno Koné a ajouté que des discussions sont en cours avec les mutins pour cerner leurs revendications.
Des tirs nourris ont été entendus mardi, dans la ville d’Adiaké (Sud, région du Sud-Comoé) en provenance du camp militaire des forces spéciales basées dans la ville. Ces tirs ont à nouveau repris ce mercredi matin après une nuit calme.
Ces coups de feu ont créé une panique générale dans la localité, entraînant la fermeture des écoles, commerces, banques et autres administrations. Les raisons de ces tirs n’ont pas encore été élucidées.
gak/fmo