Reconnaissance et gratitude au seigneur. C’est ainsi que l’ancien ministre et maire Benjamin Yapo Atsé a expliqué son geste pour la réhabilitation du presbytère de la paroisse Saint-Martin d’Akoupé. C’était le 4 février, à la livraison de l’ouvrage. «Monseigneur, Père Curé, chers frères et soeurs en Christ, vous saisissez, à travers ces quelques mots, le sens et la portée de l’acte que ma famille et moi, accomplissons ce matin. C’est l’expression de notre infinie reconnaissance et gratitude au Seigneur pour tous ses nombreux bienfaits. Nous ne cesserons jamais de le magnifier et de le glorifier, en tous lieux et toutes circonstances», a-t-il confessé. Il a soutenu que la réhabilitation du presbytère est une façon de «participer au rayonnement du Diocèse d’Agboville, en faisant nôtre le thème de cette année pastorale».
M. Benjamin Yapo a expliqué que pendant les quatre années d’exil le soutien et l’assistance de la paroisse ne lui ont jamais fait défaut. Toute chose, dira-t-il, qui lui a permis de supporter les défis de cette épreuve. «je voudrais ici bénir et rendre gloire au seigneur pour tous ses bienfaits, à mon endroit pendant mon exil. Il était présent à mes côtés et m’a assisté à tous les instants de mon séjour et cela à travers des hommes et femmes qu’il a mis en mission , à cet effet. Oui Dieu agit toujours dans notre vie, par les hommes “, dira-t-il. Aussi a-t-il exprimé au nom de sa famille, ses sincères remerciements et son infinie gratitude à Leurs Seigneurs Alexis Touabli et Jean-Jacques Koffi pour les efforts inclassables déployés pour fortifier «notre» moral pendant ces durs moments d’exil. «Monseigneur Alexis nous a quotidiennement démontré que le sort des exilés etait au centre de ses préoccupations. Je voudrais ici saluer, sa bonté, son dévouement, sa charité et son zèle infatigable à faire de notre jeune Diocèse, un lieu de ferveur religieuse»,a-t-il souligné.
Outre les serviteurs de Dieu, Benjamin Yapo Atsé a dit sa gratitude et sa reconnaissance à la communauté religieuse pour ses prières et son soutien. «La reconnaissance et la gratitude sont des vertus à cultiver et à chanter, en tous lieux et en toutes circonstances. Alors comment pourrais-je passer sous silence, en ces instants solennels, la grande chaîne de solidarité qui s’est tissée autour de moi, pendant ces quatre longues et épuisante années d’exil ?», a-t-il avancé.
Le coût des travaux s’élève à un peu plus de 16 millions de francs. Entre autres conforts, le presbytère comporte une résidence, une d’audience, une salle de réunions.
César ébrokié,
Envoyé spécial à Akoupé
M. Benjamin Yapo a expliqué que pendant les quatre années d’exil le soutien et l’assistance de la paroisse ne lui ont jamais fait défaut. Toute chose, dira-t-il, qui lui a permis de supporter les défis de cette épreuve. «je voudrais ici bénir et rendre gloire au seigneur pour tous ses bienfaits, à mon endroit pendant mon exil. Il était présent à mes côtés et m’a assisté à tous les instants de mon séjour et cela à travers des hommes et femmes qu’il a mis en mission , à cet effet. Oui Dieu agit toujours dans notre vie, par les hommes “, dira-t-il. Aussi a-t-il exprimé au nom de sa famille, ses sincères remerciements et son infinie gratitude à Leurs Seigneurs Alexis Touabli et Jean-Jacques Koffi pour les efforts inclassables déployés pour fortifier «notre» moral pendant ces durs moments d’exil. «Monseigneur Alexis nous a quotidiennement démontré que le sort des exilés etait au centre de ses préoccupations. Je voudrais ici saluer, sa bonté, son dévouement, sa charité et son zèle infatigable à faire de notre jeune Diocèse, un lieu de ferveur religieuse»,a-t-il souligné.
Outre les serviteurs de Dieu, Benjamin Yapo Atsé a dit sa gratitude et sa reconnaissance à la communauté religieuse pour ses prières et son soutien. «La reconnaissance et la gratitude sont des vertus à cultiver et à chanter, en tous lieux et en toutes circonstances. Alors comment pourrais-je passer sous silence, en ces instants solennels, la grande chaîne de solidarité qui s’est tissée autour de moi, pendant ces quatre longues et épuisante années d’exil ?», a-t-il avancé.
Le coût des travaux s’élève à un peu plus de 16 millions de francs. Entre autres conforts, le presbytère comporte une résidence, une d’audience, une salle de réunions.
César ébrokié,
Envoyé spécial à Akoupé