Sangaré Badra Ali, gardien des Eléphants et de l’AS Tanda se lance dans une autre compétition africaine (Ligue des Champions) après l’épisode de la Can. Il explique dans cet entretien ses nouvelles motivations.
Après la Can, vous revoilà engagé à nouveau dans une compétition africaine. Dans quel état d'esprit vous repartez à la conquête de l’Afrique ?
Il est vrai qu'il s'agit de Coupe africaine. Mais toutes les compétitions sont pareilles. Nous allons aborder cette rencontre comme un match de Ligue 1. Nous n'allons pas vous mettre de pression négative. Nous positivons afin de mettre les chances de nos côtés pour réussir notre entrée en lice dans cette compétition.
Après la Can, quelle est votre état de forme vu que vous n'avez participé à aucun match des Eléphants à Oyem ?
Je me sens bien. J'étais à la Can avec la sélection pour travailler, non pour manger. J'étais prêt pour jouer ma partition dans le groupe sur le terrain. Malheureusement, ça n'a pas marché. Aujourd'hui je me concentre sur la vie en club. Nous avons un objectif à atteindre. La saison dernière en Ligue des champions nous avons été sortis prématurément de la compétition. Cette année, nous voulons aller loin. Cela passe par notre premier match à Abidjan ce samedi. Il faut se mettre en confiance en prenant les points à domicile, en marquant les buts afin de se mettre à l'abri pour le match retour.
Vous êtes le plus expérimenté du groupe en termes de compétition internationale. Comment vous partagez cette expérience avec l'ensemble du groupe ?
J'essaye d'apporter mon expérience de cette compétition au groupe ensuite celle du football en général. J'échange avec tout le monde afin d'apporter des éclairages sur des points liés à la Coupe d'Afrique. Je gère le groupe avec l'aide du coach afin que tout le monde soit dans le bain. C'est-à-dire, faire un bon pour obtenir la qualification.
Pour vous, aller loin dans cette compétition est le meilleur remède d'oublier Oyem ?
Dans mon esprit, Oyem est fini. Maintenant je suis en club, concentré sur les objectifs à atteindre en club. J'essaye de bien travailler pour y arriver. Aussi je travaille pour me donner assez de chances afin de revenir en sélection. Aujourd'hui la sélection est finie. Je suis concentré sur le match du samedi. Nous prions Dieu afin de réaliser un bon match ce samedi.
Êtes-vous conscient que pour les Ivoiriens vous représentez 50% de l’équipe ivoirienne au regard de votre prestation face au Maroc en éliminatoires de la Coupe du monde ?
Je suis conscient de cette situation. D'abord le gardien de but fait 50% d une équipe. Quand le gardien fait une bonne prestation, il n'y a pas de raison que l'équipe ne suive pas. Je suis le capitaine, le plus expérimenté du groupe. Quand les autres voient que vous vous donnez à fond pour eux, il n'y pas de raison que le reste de l'équipe ne se donne pas.
Ange Kouadio
Après la Can, vous revoilà engagé à nouveau dans une compétition africaine. Dans quel état d'esprit vous repartez à la conquête de l’Afrique ?
Il est vrai qu'il s'agit de Coupe africaine. Mais toutes les compétitions sont pareilles. Nous allons aborder cette rencontre comme un match de Ligue 1. Nous n'allons pas vous mettre de pression négative. Nous positivons afin de mettre les chances de nos côtés pour réussir notre entrée en lice dans cette compétition.
Après la Can, quelle est votre état de forme vu que vous n'avez participé à aucun match des Eléphants à Oyem ?
Je me sens bien. J'étais à la Can avec la sélection pour travailler, non pour manger. J'étais prêt pour jouer ma partition dans le groupe sur le terrain. Malheureusement, ça n'a pas marché. Aujourd'hui je me concentre sur la vie en club. Nous avons un objectif à atteindre. La saison dernière en Ligue des champions nous avons été sortis prématurément de la compétition. Cette année, nous voulons aller loin. Cela passe par notre premier match à Abidjan ce samedi. Il faut se mettre en confiance en prenant les points à domicile, en marquant les buts afin de se mettre à l'abri pour le match retour.
Vous êtes le plus expérimenté du groupe en termes de compétition internationale. Comment vous partagez cette expérience avec l'ensemble du groupe ?
J'essaye d'apporter mon expérience de cette compétition au groupe ensuite celle du football en général. J'échange avec tout le monde afin d'apporter des éclairages sur des points liés à la Coupe d'Afrique. Je gère le groupe avec l'aide du coach afin que tout le monde soit dans le bain. C'est-à-dire, faire un bon pour obtenir la qualification.
Pour vous, aller loin dans cette compétition est le meilleur remède d'oublier Oyem ?
Dans mon esprit, Oyem est fini. Maintenant je suis en club, concentré sur les objectifs à atteindre en club. J'essaye de bien travailler pour y arriver. Aussi je travaille pour me donner assez de chances afin de revenir en sélection. Aujourd'hui la sélection est finie. Je suis concentré sur le match du samedi. Nous prions Dieu afin de réaliser un bon match ce samedi.
Êtes-vous conscient que pour les Ivoiriens vous représentez 50% de l’équipe ivoirienne au regard de votre prestation face au Maroc en éliminatoires de la Coupe du monde ?
Je suis conscient de cette situation. D'abord le gardien de but fait 50% d une équipe. Quand le gardien fait une bonne prestation, il n'y a pas de raison que l'équipe ne suive pas. Je suis le capitaine, le plus expérimenté du groupe. Quand les autres voient que vous vous donnez à fond pour eux, il n'y pas de raison que le reste de l'équipe ne se donne pas.
Ange Kouadio