Le ministre du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a promis, mardi, améliorer le cadre de vie des femmes du vivrier qui représentent un maillon fort dans la lutte contre la vie chère.
« Nous allons travailler ensemble pour que la condition des femmes du vivrier s’améliore. Il faut trouver un cadre moderne de travail et surtout protéger les commerçantes contre les cartels. En tant qu’agent économique, vous avez également besoin de vivre sainement, d’avoir droit à des soins adéquats et une retraite » a déclaré le ministre lors d’une rencontre à la chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire avec les femmes du secteur vivrier en Côte d’Ivoire afin de présenter sa vision du département ministériel qu’il occupe depuis ce 11 janvier 2017.
Félicitant les femmes pour les efforts d’assainissement de leur cadre de travail, il les a invitées à développer le marché local avant de les solliciter afin de l’appuyer dans la mission que lui a confié le président Alassane Ouattara.
Les femmes à leur tour ont livré au ministre leurs principales préoccupations. Par la voix de leur porte parole, Yvonne Irié, elles ont souhaité des moyens de transport destinés exclusivement au convoi du vivrier pour éviter des pertes de produit qui conduit à la surenchère.
Il faut ensuite régler le problème de la tracasserie routière. « Nous souhaitons un financement du secteur, de meilleures conditions de travail, le développement et la redynamisation de l’Office d’aide à la Commercialisation des Produits Vivriers (OCPV) » poursuit-elle.
Dans l’optique d’un avis favorable à leurs préoccupations, les femmes du vivrier se sont engagées à servir régulièrement les marchés en denrées alimentaires de première nécessité tout en promettant de ne pas faire de la surenchère des produits.
Rappelons que cette rencontre s’inscrit dans la prise de contact du ministre Diarrassouba avec tous les acteurs du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME.
Atapointe
« Nous allons travailler ensemble pour que la condition des femmes du vivrier s’améliore. Il faut trouver un cadre moderne de travail et surtout protéger les commerçantes contre les cartels. En tant qu’agent économique, vous avez également besoin de vivre sainement, d’avoir droit à des soins adéquats et une retraite » a déclaré le ministre lors d’une rencontre à la chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire avec les femmes du secteur vivrier en Côte d’Ivoire afin de présenter sa vision du département ministériel qu’il occupe depuis ce 11 janvier 2017.
Félicitant les femmes pour les efforts d’assainissement de leur cadre de travail, il les a invitées à développer le marché local avant de les solliciter afin de l’appuyer dans la mission que lui a confié le président Alassane Ouattara.
Les femmes à leur tour ont livré au ministre leurs principales préoccupations. Par la voix de leur porte parole, Yvonne Irié, elles ont souhaité des moyens de transport destinés exclusivement au convoi du vivrier pour éviter des pertes de produit qui conduit à la surenchère.
Il faut ensuite régler le problème de la tracasserie routière. « Nous souhaitons un financement du secteur, de meilleures conditions de travail, le développement et la redynamisation de l’Office d’aide à la Commercialisation des Produits Vivriers (OCPV) » poursuit-elle.
Dans l’optique d’un avis favorable à leurs préoccupations, les femmes du vivrier se sont engagées à servir régulièrement les marchés en denrées alimentaires de première nécessité tout en promettant de ne pas faire de la surenchère des produits.
Rappelons que cette rencontre s’inscrit dans la prise de contact du ministre Diarrassouba avec tous les acteurs du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME.
Atapointe