La mission des Nations en Côte d'ivoire touche à sa fin. Selon les informations, les casques bleus se retirent ce 15 Février 2017 de la Côte d'Ivoire.
L'information est confirmée par le conseil de sécurité par la représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU pour la Côte d’Ivoire Aïchatou Mindaoudou à New-York. "Le désengagement qui débute mi-février avec le départ des casques bleus sera effectif d’ici le 30 juin 2017", apprend -t-on de sources bien renseignées.
"L’Onuci a rempli son rôle, conformément aux mandats, en 14 ans de présence. Le reste, ce sont les Ivoiriens qui devront le faire dans le cadre démocratique qui existe aujourd’hui.”, relève Mme Aïchatou Mindaoudou.
Le retrait des casques bleus dans ce pays, amène Mme Aïchatou Mindaoudou, a invité les pays de la communauté internationale à la vigilance, dans une Côte d'ivoire qui, dit-elle, avec un contexte sécuritaire toujours fragile.
L’ONU a signé un plan de transfert des activités au gouvernement ivoirien en octobre 2016. Il se chiffre à près de 50 millions de dollars pour poursuivre notamment les programmes de réconciliation nationale et le rétablissement de l‘État de droit. Mais l’argent fait toujours défaut.
L'information est confirmée par le conseil de sécurité par la représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU pour la Côte d’Ivoire Aïchatou Mindaoudou à New-York. "Le désengagement qui débute mi-février avec le départ des casques bleus sera effectif d’ici le 30 juin 2017", apprend -t-on de sources bien renseignées.
"L’Onuci a rempli son rôle, conformément aux mandats, en 14 ans de présence. Le reste, ce sont les Ivoiriens qui devront le faire dans le cadre démocratique qui existe aujourd’hui.”, relève Mme Aïchatou Mindaoudou.
Le retrait des casques bleus dans ce pays, amène Mme Aïchatou Mindaoudou, a invité les pays de la communauté internationale à la vigilance, dans une Côte d'ivoire qui, dit-elle, avec un contexte sécuritaire toujours fragile.
L’ONU a signé un plan de transfert des activités au gouvernement ivoirien en octobre 2016. Il se chiffre à près de 50 millions de dollars pour poursuivre notamment les programmes de réconciliation nationale et le rétablissement de l‘État de droit. Mais l’argent fait toujours défaut.