La ministre ivoirienne de la Salubrité, Anne Désirée Ouloto, a affirmé que la Côte d’Ivoire dont le "niveau d’insalubrité est élevé dans la plupart (de ses) villes et communes a "tout ce qu’il faut pour lutter contre" ce problème, dans une note transmise samedi à ALERTE INFO.
"Nous avons tout ce qu’il faut pour lutter contre l’insalubrité", a dit Mme Ouloto, qui a demandé plus de "professionnalisme, de rigueur, de respect des procédures et des cahiers de charges" à toutes les structures affiliées à son ministère.
En Côte d’Ivoire, l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR), le Fonds de financement des programmes de la salubrité urbaine (FFPSU), l’Agence nationale de l’environnement (ANDE) et à l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) interviennent dans la lutte pour la salubrité et le développement durable.
"Vous n’avez plus droit à l’erreur", leur a signifié Anne Ouloto, informant ses collaborateurs qu’ils seront "évalués à la fin 2017", une année qu’elle dit avoir "décrété avec son cabinet: année de résultats" dans "la bataille de la salubrité".
"Tout doit changer. (…). Il faut surseoir aux petits clans, groupes ethniques et politiques (…), mettre le compteur à zéro (et) améliorer les performances", a conseillé la ministre.
Estimée à 4.500 tonnes en 2015, la production quotidienne de déchets en Côte d’Ivoire, a doublé en 2016, et le "niveau d’insalubrité dans la plupart de ses villes et communes reste élevé", selon les autorités ivoiriennes.
Le 1er février, à l’issue d’un Conseil des ministres, le gouvernement ivoirien a annoncé le lancement le 04 mars d’une "opération d’envergure nationale" dénommée le "grand ménage", dans l’objectif d’endiguer ce problème.
Le "grand ménage" qui sera réitéré "le premier samedi de chaque mois", selon le gouvernement, "vise à travers l’information et la sensibilisation, à amener la population à agir ensemble, à travers des activités de nettoiement, pour la propreté et l’esthétique du cadre de vie".
ATI
"Nous avons tout ce qu’il faut pour lutter contre l’insalubrité", a dit Mme Ouloto, qui a demandé plus de "professionnalisme, de rigueur, de respect des procédures et des cahiers de charges" à toutes les structures affiliées à son ministère.
En Côte d’Ivoire, l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR), le Fonds de financement des programmes de la salubrité urbaine (FFPSU), l’Agence nationale de l’environnement (ANDE) et à l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) interviennent dans la lutte pour la salubrité et le développement durable.
"Vous n’avez plus droit à l’erreur", leur a signifié Anne Ouloto, informant ses collaborateurs qu’ils seront "évalués à la fin 2017", une année qu’elle dit avoir "décrété avec son cabinet: année de résultats" dans "la bataille de la salubrité".
"Tout doit changer. (…). Il faut surseoir aux petits clans, groupes ethniques et politiques (…), mettre le compteur à zéro (et) améliorer les performances", a conseillé la ministre.
Estimée à 4.500 tonnes en 2015, la production quotidienne de déchets en Côte d’Ivoire, a doublé en 2016, et le "niveau d’insalubrité dans la plupart de ses villes et communes reste élevé", selon les autorités ivoiriennes.
Le 1er février, à l’issue d’un Conseil des ministres, le gouvernement ivoirien a annoncé le lancement le 04 mars d’une "opération d’envergure nationale" dénommée le "grand ménage", dans l’objectif d’endiguer ce problème.
Le "grand ménage" qui sera réitéré "le premier samedi de chaque mois", selon le gouvernement, "vise à travers l’information et la sensibilisation, à amener la population à agir ensemble, à travers des activités de nettoiement, pour la propreté et l’esthétique du cadre de vie".
ATI