Grand-Bassam – Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural a ouvert mercredi à Grand-Bassam, un atelier consacré au bilan et au renforcement des capacités de l’inter coton et de l’Association inter-palmier à huile.
Cet atelier, qui réunit une centaine de participants, a pour objectif de faire partager les expériences acquises par ces Organisations interprofessionnelles agricoles (OIA) reconnues en vue d’accélérer la constitution des autres filières concernées et de renforcer leurs capacités en matière d’organisation et de fonctionnement.
Il s’agira de façon spécifique, de présenter le processus de constitution des OIA coton et palmier à huile, de présenter les activités, les résultats, les contraintes des OIA reconnues et l’impact de la reconnaissance, de préciser le rôle des structures de régulation, d’identifier et d’analyser les contraintes liées aux activités des OIA et de définir un cadre de collaboration efficace entre les structures de régulation et les OIA.
Le directeur de cabinet, Coulibaly Siaka Minaya, a déploré la reconnaissance officielle de seulement trois filières (Inter coton, AIPH et la filière Oignon), en quatre ans, sur la trentaine à professionnaliser. « Cette rencontre de partage d’expériences va permettre de tirer les acquis et de relever les insuffisances des trois filières professionnalisées en matière de création d’organisation » afin que ce secteur agricole soit la locomotive de l’émergence de la Côte d’Ivoire, a-t-il lancé.
ko/aaa/kam
Cet atelier, qui réunit une centaine de participants, a pour objectif de faire partager les expériences acquises par ces Organisations interprofessionnelles agricoles (OIA) reconnues en vue d’accélérer la constitution des autres filières concernées et de renforcer leurs capacités en matière d’organisation et de fonctionnement.
Il s’agira de façon spécifique, de présenter le processus de constitution des OIA coton et palmier à huile, de présenter les activités, les résultats, les contraintes des OIA reconnues et l’impact de la reconnaissance, de préciser le rôle des structures de régulation, d’identifier et d’analyser les contraintes liées aux activités des OIA et de définir un cadre de collaboration efficace entre les structures de régulation et les OIA.
Le directeur de cabinet, Coulibaly Siaka Minaya, a déploré la reconnaissance officielle de seulement trois filières (Inter coton, AIPH et la filière Oignon), en quatre ans, sur la trentaine à professionnaliser. « Cette rencontre de partage d’expériences va permettre de tirer les acquis et de relever les insuffisances des trois filières professionnalisées en matière de création d’organisation » afin que ce secteur agricole soit la locomotive de l’émergence de la Côte d’Ivoire, a-t-il lancé.
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