Le Premier Ministre, Amadou Gon Coulibaly, a eu un entretien, dans l’après-midi du 22 février, à la Primature à Abidjan-Plateau, avec une délégation de la Banque Mondiale conduite par son Vice-président pour la région Afrique, Makhtar Diop. Au terme de cette rencontre, M. Makhtar Diop a confié avoir passé en revue avec le Chef du Gouvernement les projets de la Banque Mondiale et discuté des questions d’emploi et du développement macroéconomique.
Réagissant à une demande du Gouvernement ivoirien « d’augmenter l’enveloppe qui sera allouée au projet Filets Sociaux qui bénéficie d’un volet de 50 millions de dollars, soit 25 milliards de FCFA», M. Diop a annoncé « une augmentation de cette enveloppe pour les Filets Sociaux de 100 millions de dollars, soit 50 milliards de FCFA. Ce qui permettra de mettre environ 150 millions de dollars à la disposition des populations ivoiriennes pour répondre à la demande sociale et surtout des plus défavorisés de la société ».
Concernant « la question d’emploi qui est une préoccupation majeure pour la plupart des pays africains, et en particulier pour la Côte d’Ivoire », il a soutenu que « la Banque Mondiale prépare un gros projet sur les Techniques de l’information et de la communication (TIC) pour le Gouvernement qui souhaiterait augmenter l’accès aux TIC qui sont un élément important de développement économique et d’insertion professionnelle pour les jeunes ».
Sur la question du développement macroéconomique, M. Diop a estimé qu’étant donné que« dans la zone UEMOA, la Côte d’Ivoire constitue l’une des économies les plus importantes, il est important que la croissance enregistrée par la Côte d’Ivoire soit maintenue en dépit de la baisse des cours des matières premières enregistrée récemment ».
De ce fait, a-t-il promis, « nous allons accompagner, par des appels budgétaires qui seront accrus, les objectifs de croissance que la Côte d’Ivoire a enregistrés au cours de ces dernières années. Nous devons nous assurer que malgré cette baisse du cours des matières premières, nous n’enregistrerons pas un ralentissement, non seulement de la croissance en Côte d’Ivoire, mais de l’ensemble des économies de la sous-région ».
Saluant« la relation forte qu’il y a entre son institution et la Côte d’Ivoire qui est un partenaire essentiel en Afrique, en général, et en Afrique de l’Ouest, en particulier », il a informé qu’ « en préparation de la réunion du G20, la Côte d’Ivoire est en train de préparer son appel 1 Compact, c’est-à-dire, l’ensemble des mesures qui permettraient de faciliter l’investissement privé en Côte d’Ivoire ».
« C’est un ensemble de réformes et de mesures qui sera présenté à la communauté internationale et nous pensons que cela va aider à accélérer les investissements privés dans le pays, qui sont des essentiels pour la création de l’emploi et de maintien de la croissance », a-t-il conclu.
Réagissant à une demande du Gouvernement ivoirien « d’augmenter l’enveloppe qui sera allouée au projet Filets Sociaux qui bénéficie d’un volet de 50 millions de dollars, soit 25 milliards de FCFA», M. Diop a annoncé « une augmentation de cette enveloppe pour les Filets Sociaux de 100 millions de dollars, soit 50 milliards de FCFA. Ce qui permettra de mettre environ 150 millions de dollars à la disposition des populations ivoiriennes pour répondre à la demande sociale et surtout des plus défavorisés de la société ».
Concernant « la question d’emploi qui est une préoccupation majeure pour la plupart des pays africains, et en particulier pour la Côte d’Ivoire », il a soutenu que « la Banque Mondiale prépare un gros projet sur les Techniques de l’information et de la communication (TIC) pour le Gouvernement qui souhaiterait augmenter l’accès aux TIC qui sont un élément important de développement économique et d’insertion professionnelle pour les jeunes ».
Sur la question du développement macroéconomique, M. Diop a estimé qu’étant donné que« dans la zone UEMOA, la Côte d’Ivoire constitue l’une des économies les plus importantes, il est important que la croissance enregistrée par la Côte d’Ivoire soit maintenue en dépit de la baisse des cours des matières premières enregistrée récemment ».
De ce fait, a-t-il promis, « nous allons accompagner, par des appels budgétaires qui seront accrus, les objectifs de croissance que la Côte d’Ivoire a enregistrés au cours de ces dernières années. Nous devons nous assurer que malgré cette baisse du cours des matières premières, nous n’enregistrerons pas un ralentissement, non seulement de la croissance en Côte d’Ivoire, mais de l’ensemble des économies de la sous-région ».
Saluant« la relation forte qu’il y a entre son institution et la Côte d’Ivoire qui est un partenaire essentiel en Afrique, en général, et en Afrique de l’Ouest, en particulier », il a informé qu’ « en préparation de la réunion du G20, la Côte d’Ivoire est en train de préparer son appel 1 Compact, c’est-à-dire, l’ensemble des mesures qui permettraient de faciliter l’investissement privé en Côte d’Ivoire ».
« C’est un ensemble de réformes et de mesures qui sera présenté à la communauté internationale et nous pensons que cela va aider à accélérer les investissements privés dans le pays, qui sont des essentiels pour la création de l’emploi et de maintien de la croissance », a-t-il conclu.