Laurent Pokou, l’icône du football ivoirien a été inhumé le samedi 25 février 2017 au cimetière municipal de Tiassalé dans le quartier de Tiassalékro. La Côte d’Ivoire sportive, politique, administrative et religieuse s’est mobilisée pour accompagner l’homme d’Asmara à sa dernière demeure.
Au stade municipal de Tiassalékro, Laurent Pokou a joué son dernier et grand match, avant de dire définitivement adieu à sa famille biologique, sportive, amis et anciens coéquipiers. Pour cet ultime match du Prince Baoulé, personne ne voulait se faire conter l’évènement au regard de la qualité de l’homme. Le ministre des Sports et Loisirs, Amichia François, la ministre Mariatou Koné, Ministre de la Solidarité, de la Femme et de la Protection de l’Enfant, le président de la FIF, Sidy Diallo, Francis Ouégnin, président de section football de l’Asec Mimosas étaient du rendez-vous afin de rendre à Laurent Pokou, ce dernier hommage. La diva de la musique Baoulé, Allah Thérèse qui, à travers une chanson dédiée à l’illustre disparu, a donné le ton. Elle a été suivie dans cette démarche par l’Evêque du diocèse d’Agboville Touably Alexis. Monseigneur Touably Alexis a célébré, en compagnie d’un clergé de prêtre de l’église catholique la messe de requiem de Laurent Pokou. « Laurent Pokou, je ne l’ai rencontré qu’une seule fois. C’était à ma messe de requiem de feu Kallet Bialy. Là, il a souhaité que j’office sa messe de requiem », a raconté l’Evêque du diocèse d’Agboville. « Pour ceux qui croient en toi (Ndlr ; Jésus- Christ) la vie est transformée ». C’est par ces mots que le père Parfait Amorofié a entamé son homélie. Ceci pour évoquer la célébration de la Pâque (sa résurrection) de Laurent Pokou. « Celui qui croit dit le Seigneur vivra », a appuyé le curé. Le père Parfait Amorofié a indiqué dans son homélie qu’en raison de la foi du défunt, il a cette assurance que Laurent Pokou a une demeure auprès du Père Céleste. Toutefois, il n’a pas manqué de souligner la douleur qu’il ressent de voir Laurent Pokou quitter la terre des hommes. « Perdre Laurent Pokou, nous faire mal. La mort de Laurent Pokou nous laisse sans mot » a dit le père Parfait Amorofié. Avant de prier le Seigneur pour le repos de l’âme du Prince Baoulé. Des paroles de réconfort et d’espoir qui ont donné de la joie dans le cœur des parents, amis de Laurent Pokou. Une joie matérialisée par des pas de danses sous l’aire musicale de la Chorale ‘’Dieu Vivant’’ de Marocry. Mais cette allégresse fut de courte durée. Car au moment où le ministre des Sports et Loisirs, Amichia François remettait le drapeau de la nation à la veuve Pokou, la tristesse d’une douloureuse séparation regagnait les cœurs. N’empêche que pour cet ultime match, Laurent Pokou a eu droit à des acclamations fortement nourries de ces fans ( comme ce fut le cas aux heures de gloire de l’attaquant sur les stades ) au moment où le véhicule mortuaire effectuait un tour d’adieu au stade municipal de Tiassalékro. Avant d’être conduit au cimetière municipal où il reposera à jamais dans un mausolée
a.
Ange K
Au stade municipal de Tiassalékro, Laurent Pokou a joué son dernier et grand match, avant de dire définitivement adieu à sa famille biologique, sportive, amis et anciens coéquipiers. Pour cet ultime match du Prince Baoulé, personne ne voulait se faire conter l’évènement au regard de la qualité de l’homme. Le ministre des Sports et Loisirs, Amichia François, la ministre Mariatou Koné, Ministre de la Solidarité, de la Femme et de la Protection de l’Enfant, le président de la FIF, Sidy Diallo, Francis Ouégnin, président de section football de l’Asec Mimosas étaient du rendez-vous afin de rendre à Laurent Pokou, ce dernier hommage. La diva de la musique Baoulé, Allah Thérèse qui, à travers une chanson dédiée à l’illustre disparu, a donné le ton. Elle a été suivie dans cette démarche par l’Evêque du diocèse d’Agboville Touably Alexis. Monseigneur Touably Alexis a célébré, en compagnie d’un clergé de prêtre de l’église catholique la messe de requiem de Laurent Pokou. « Laurent Pokou, je ne l’ai rencontré qu’une seule fois. C’était à ma messe de requiem de feu Kallet Bialy. Là, il a souhaité que j’office sa messe de requiem », a raconté l’Evêque du diocèse d’Agboville. « Pour ceux qui croient en toi (Ndlr ; Jésus- Christ) la vie est transformée ». C’est par ces mots que le père Parfait Amorofié a entamé son homélie. Ceci pour évoquer la célébration de la Pâque (sa résurrection) de Laurent Pokou. « Celui qui croit dit le Seigneur vivra », a appuyé le curé. Le père Parfait Amorofié a indiqué dans son homélie qu’en raison de la foi du défunt, il a cette assurance que Laurent Pokou a une demeure auprès du Père Céleste. Toutefois, il n’a pas manqué de souligner la douleur qu’il ressent de voir Laurent Pokou quitter la terre des hommes. « Perdre Laurent Pokou, nous faire mal. La mort de Laurent Pokou nous laisse sans mot » a dit le père Parfait Amorofié. Avant de prier le Seigneur pour le repos de l’âme du Prince Baoulé. Des paroles de réconfort et d’espoir qui ont donné de la joie dans le cœur des parents, amis de Laurent Pokou. Une joie matérialisée par des pas de danses sous l’aire musicale de la Chorale ‘’Dieu Vivant’’ de Marocry. Mais cette allégresse fut de courte durée. Car au moment où le ministre des Sports et Loisirs, Amichia François remettait le drapeau de la nation à la veuve Pokou, la tristesse d’une douloureuse séparation regagnait les cœurs. N’empêche que pour cet ultime match, Laurent Pokou a eu droit à des acclamations fortement nourries de ces fans ( comme ce fut le cas aux heures de gloire de l’attaquant sur les stades ) au moment où le véhicule mortuaire effectuait un tour d’adieu au stade municipal de Tiassalékro. Avant d’être conduit au cimetière municipal où il reposera à jamais dans un mausolée
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Ange K