« Quels moyens d’actions du ministère pour améliorer la compétitivité des PME ? », tel est le thème du petit déjeuner-débat animé hier, à MDE Business School par Souleymane DIARRASSOUBA, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME. M. DIARRASSOUBA a, d’entrée de jeu, indiqué que le Chef de l’Etat veut faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 ; les PME doivent constituer le principal pourvoyeur d’emplois formels ». Dans cette optique, poursuit-il, la vision gouvernementale du secteur est de bâtir un tissu de PME productives, compétitives, réparties sur toute l’étendue du territoire national, orientées vers l’exportation et animées par des acteurs compétents et dynamiques.
Pour traduire cette vision dans faits, le conférencier a exposé cinq défis importants qui selon lui doivent être relevés. Ce sont entre autres, la mise en place d’un cadre institutionnel et réglementaire adéquat pour le développement des PME ; la réduction de la taille de l’informel qui se traduira par la modernisation et la professionnalisation des PME qui y étaient ; la création des conditions idoines d’accès aux financements des PME et enfin, la formation des formateurs et la formation continue des acteurs du secteur.
Le Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, a rappelé quelques actions menées par l’Etat, notamment dans le cadre de la loi portant orientation de la politique nationale de promotion des PME
Sur la question du financement de ces entreprises, le Ministre DIARRASSOUBA a rappelé le plan Phoenix avec ses principaux axes. Ces axes sont entre autres, l’amélioration de l’accès au financement et aux marchés ; le renforcement des capacités techniques et managériales ; l’amélioration du climat des affaires des PME ; et le développement de la culture entrepreneuriale et de l’innovation. « La mise en œuvre de cette stratégie a commencé et avance très bien, même si elle n’est pas forcément perceptible par tout le monde » a-t-il assuré. Il en veut pour preuve la création de l’incubateur d’Abidjan dont les bâtiments sont en voie de réhabilitation ; la mise en place de la société de gestion du Fonds et du Fonds de garantie qui sera opérationnel dès 2018 ; la mise en place du statut de l’entreprenant.
L’invité des alumni de MDE Business School s’est voulu rassurant sur la question du financement des PME en mentionnant l’initiative ‘’la Finance s’engage’’, qui a permis d’obtenir du système bancaire l’engagement de mettre à disposition des entreprises du secteur 1340 milliards de Fcfa en 2017. Mais pour bénéficier de cette opportunité ainsi que toutes les mesures prises par l’Etat en leur faveur, les PME doivent assainir le mode de gestion des marchés qui leur sont octroyés et se réformer. « Des entreprises que l’Etat a voulu aider en leur facilitant l’accès à certains marchés ne sont pas capables de conduire la réalisation des projets à terme. Créant ainsi des désagréments importants » a-t-il déploré. Rappelons que le Ministre Souleymane DIARRASSOUBA est lui-même un ancien étudiant de MDE Business School et de la promotion Advance Management Programme (AMP) de 2011.
Pour traduire cette vision dans faits, le conférencier a exposé cinq défis importants qui selon lui doivent être relevés. Ce sont entre autres, la mise en place d’un cadre institutionnel et réglementaire adéquat pour le développement des PME ; la réduction de la taille de l’informel qui se traduira par la modernisation et la professionnalisation des PME qui y étaient ; la création des conditions idoines d’accès aux financements des PME et enfin, la formation des formateurs et la formation continue des acteurs du secteur.
Le Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, a rappelé quelques actions menées par l’Etat, notamment dans le cadre de la loi portant orientation de la politique nationale de promotion des PME
Sur la question du financement de ces entreprises, le Ministre DIARRASSOUBA a rappelé le plan Phoenix avec ses principaux axes. Ces axes sont entre autres, l’amélioration de l’accès au financement et aux marchés ; le renforcement des capacités techniques et managériales ; l’amélioration du climat des affaires des PME ; et le développement de la culture entrepreneuriale et de l’innovation. « La mise en œuvre de cette stratégie a commencé et avance très bien, même si elle n’est pas forcément perceptible par tout le monde » a-t-il assuré. Il en veut pour preuve la création de l’incubateur d’Abidjan dont les bâtiments sont en voie de réhabilitation ; la mise en place de la société de gestion du Fonds et du Fonds de garantie qui sera opérationnel dès 2018 ; la mise en place du statut de l’entreprenant.
L’invité des alumni de MDE Business School s’est voulu rassurant sur la question du financement des PME en mentionnant l’initiative ‘’la Finance s’engage’’, qui a permis d’obtenir du système bancaire l’engagement de mettre à disposition des entreprises du secteur 1340 milliards de Fcfa en 2017. Mais pour bénéficier de cette opportunité ainsi que toutes les mesures prises par l’Etat en leur faveur, les PME doivent assainir le mode de gestion des marchés qui leur sont octroyés et se réformer. « Des entreprises que l’Etat a voulu aider en leur facilitant l’accès à certains marchés ne sont pas capables de conduire la réalisation des projets à terme. Créant ainsi des désagréments importants » a-t-il déploré. Rappelons que le Ministre Souleymane DIARRASSOUBA est lui-même un ancien étudiant de MDE Business School et de la promotion Advance Management Programme (AMP) de 2011.