La Côte d'Ivoire et la Chine se sont engagés à conjuguer leurs efforts pour pallier le déficit en eau potable à Abidjan.
La capitale économique ivoirienne se trouve confrontée à un déficit en matière de service public d'approvisionnement en eau potable. Les populations abidjanaises subissent des coupures périodiques d'eau courante.
Selon des chiffres officiels, la production journalière totale cumulée était d'environ 350.000 m3 pour des besoins estimés à 500.000 m3/jour soit un déficit journalier de 150.000 m3.
Un plan d'urgence de 48 milliards de francs CFA (95 millions USD) a été ainsi mis en place à Abidjan par les autorités pour résorber ce déficit.
La réalisation de ce programme d'urgence comprend "une première phase de 29 milliards qui aura un impact direct sur la desserte et une deuxième phase de 19 milliards, qui aura un impact sur la sécurisation du réseau".
Le gouvernement ivoirien a pris diverses initiatives à travers des travaux de construction de châteaux pour l'amélioration de la fourniture en eau potable de la capitale économique.
Dans cette optique, la Chine a apporté un appui à la mise en service du château de Bonoua, à l'est d'Abidjan, pour l'approvisionnement en eau potable de plus de deux millions de personnes.
Le projet d'un coût de 59 milliards FCFA dont 50 milliards octroyés par la Chine à travers Eximbank Chine, vise à contribuer au renforcement du système d'alimentation en eau potable de la ville d'Abidjan et des villes environnantes.
Le château d'eau de Bonoua dont la production journalière est estimée à 80.000 m3 est la première phase d'un projet global de 100 milliards FCFA qui devrait permettre à terme de produire 740.000 m3/jour.
"L'eau est source de vie. Le gouvernement en est conscient et a mis au coeur de ses priorités, l'eau potable pour la population ivoirienne", a souligné le vice-président ivoirien Daniel kablan Duncan lors d'une récente cérémonie.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont salué la coopération sino-ivoirienne dans le domaine de l'hydraulique , qui porte des fruits dans le sens de l'amélioration du quotidien des ménages ivoiriens.
La capitale économique ivoirienne se trouve confrontée à un déficit en matière de service public d'approvisionnement en eau potable. Les populations abidjanaises subissent des coupures périodiques d'eau courante.
Selon des chiffres officiels, la production journalière totale cumulée était d'environ 350.000 m3 pour des besoins estimés à 500.000 m3/jour soit un déficit journalier de 150.000 m3.
Un plan d'urgence de 48 milliards de francs CFA (95 millions USD) a été ainsi mis en place à Abidjan par les autorités pour résorber ce déficit.
La réalisation de ce programme d'urgence comprend "une première phase de 29 milliards qui aura un impact direct sur la desserte et une deuxième phase de 19 milliards, qui aura un impact sur la sécurisation du réseau".
Le gouvernement ivoirien a pris diverses initiatives à travers des travaux de construction de châteaux pour l'amélioration de la fourniture en eau potable de la capitale économique.
Dans cette optique, la Chine a apporté un appui à la mise en service du château de Bonoua, à l'est d'Abidjan, pour l'approvisionnement en eau potable de plus de deux millions de personnes.
Le projet d'un coût de 59 milliards FCFA dont 50 milliards octroyés par la Chine à travers Eximbank Chine, vise à contribuer au renforcement du système d'alimentation en eau potable de la ville d'Abidjan et des villes environnantes.
Le château d'eau de Bonoua dont la production journalière est estimée à 80.000 m3 est la première phase d'un projet global de 100 milliards FCFA qui devrait permettre à terme de produire 740.000 m3/jour.
"L'eau est source de vie. Le gouvernement en est conscient et a mis au coeur de ses priorités, l'eau potable pour la population ivoirienne", a souligné le vice-président ivoirien Daniel kablan Duncan lors d'une récente cérémonie.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont salué la coopération sino-ivoirienne dans le domaine de l'hydraulique , qui porte des fruits dans le sens de l'amélioration du quotidien des ménages ivoiriens.