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Le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Adama Koné a procédé ce mercredi à Abidjan, à l’ouverture de la 5ème Conférence des parties de Mutuelle Panafricaine de Gestion des Risques (ARC).
Devant les délégations venues de plusieurs pays africains et internationaux, le Ministre Adama Koné a dit « l ‘honneur » pour la Côte d’Ivoire d’accueillir cette 5ème Conférence des parties de l’ARC. Le ministre, après avoir rappelé les démarches entreprises par la Côte d’Ivoire pour finaliser son adhésion à l’ARC, a indiqué qu’en acceptant d’abriter cette rencontre, les autorités ivoiriennes veulent démontrer que la problématique liée à la gestion des catastrophes naturelles ainsi que les questions ayant trait à la sécurité alimentaire demeurent des priorités pour elle. Avant de déclarer solennellement ouverte de la 5eme Conférence des parties de la Mutuelle Panafricaine de Gestion des Risques, le ministre Adama Koné a salué « le travail important » accompli par l’Institution à ce jour.
L’Institution de l’ARC a pour but d’aider les États membres de l’Union africaine à améliorer leurs capacités en vue de mieux planifier, de mieux se préparer et de mieux répondre à des événements météorologiques extrêmes et à des catastrophes naturelles. L’objectif de l’Institution de l’ARC consiste à aider les États membres à réduire le risque de pertes et de dommages causés par des événements météorologiques extrêmes et des catastrophes naturelles qui affectent les populations africaines en fournissant des réponses ciblées aux désastres plus rapidement et de manière financièrement avantageuse, objective et transparente.
L’Institution de l’ARC s’acquitte en particulier, des fonctions relatives à l’appui aux Parties pour améliorer l’évaluation des risques et leur gestion au moyen d’outils financiers modernes et innovants tels que le financement des risques et le transfert des risques – à l’appui aux Parties pour planifier et se préparer aux cas d’urgence résultant d’évènements météorologiques extrêmes et de catastrophes naturelles – à l’appui aux Parties pour développer des plans d’urgence et de stratégies de gestion des risques pour les évènements météorologiques extrêmes et catastrophes naturelles et effectuer le suivi continu de l’efficacité de tels plans d’urgence et stratégies de gestion des risques – enfin à l’appui aux Parties pour évaluer l’impact financier des évènements météorologiques extrêmes et des catastrophes naturelles.
Elisée B.
Devant les délégations venues de plusieurs pays africains et internationaux, le Ministre Adama Koné a dit « l ‘honneur » pour la Côte d’Ivoire d’accueillir cette 5ème Conférence des parties de l’ARC. Le ministre, après avoir rappelé les démarches entreprises par la Côte d’Ivoire pour finaliser son adhésion à l’ARC, a indiqué qu’en acceptant d’abriter cette rencontre, les autorités ivoiriennes veulent démontrer que la problématique liée à la gestion des catastrophes naturelles ainsi que les questions ayant trait à la sécurité alimentaire demeurent des priorités pour elle. Avant de déclarer solennellement ouverte de la 5eme Conférence des parties de la Mutuelle Panafricaine de Gestion des Risques, le ministre Adama Koné a salué « le travail important » accompli par l’Institution à ce jour.
L’Institution de l’ARC a pour but d’aider les États membres de l’Union africaine à améliorer leurs capacités en vue de mieux planifier, de mieux se préparer et de mieux répondre à des événements météorologiques extrêmes et à des catastrophes naturelles. L’objectif de l’Institution de l’ARC consiste à aider les États membres à réduire le risque de pertes et de dommages causés par des événements météorologiques extrêmes et des catastrophes naturelles qui affectent les populations africaines en fournissant des réponses ciblées aux désastres plus rapidement et de manière financièrement avantageuse, objective et transparente.
L’Institution de l’ARC s’acquitte en particulier, des fonctions relatives à l’appui aux Parties pour améliorer l’évaluation des risques et leur gestion au moyen d’outils financiers modernes et innovants tels que le financement des risques et le transfert des risques – à l’appui aux Parties pour planifier et se préparer aux cas d’urgence résultant d’évènements météorologiques extrêmes et de catastrophes naturelles – à l’appui aux Parties pour développer des plans d’urgence et de stratégies de gestion des risques pour les évènements météorologiques extrêmes et catastrophes naturelles et effectuer le suivi continu de l’efficacité de tels plans d’urgence et stratégies de gestion des risques – enfin à l’appui aux Parties pour évaluer l’impact financier des évènements météorologiques extrêmes et des catastrophes naturelles.
Elisée B.
