« Nous avons manifesté pour dire non à cette expulsion. L’habitat Cnps est devenu comme notre village. Je suis dans cette cité depuis 1987 », a déclaré Mme Cécile Djouro, une veuve.
Bouaké: Les résidents de la cité Cnps manifestent contre leur expulsion
Pour avoir été menacés d’expulsion dans six mois par la Sicogi, les résidents de la cité Cnps et particulièrement les « mamans » ont manifesté leur désapprobation par rapport à cette mise en demeure, en bloquant la voie qui mène à l’aéroport ce mardi 14 mars, dans la matinée.
A l'aide d'un mégaphone, ces « mamans » ont crié leur mécontentement. Et pour cause, la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps) a commis un huissier pour qu’il vienne remettre ce mardi 14 mars, à chaque résident un avis d’expulsion dans six mois. Sous le prétexte de vouloir réhabiliter les maisons. Ce qui n’était pas du goût des résidents qui ont décidé de se faire entendre afin que les plus hautes autorités viennent à leur « secours ».
« Nous avons manifesté pour dire non à cette expulsion. L’habitat Cnps est devenu comme notre village. Je suis dans cette cité depuis 1987 », a déclaré Mme Cécile Djouro, une veuve. « Ce que nous souhaitons c’est que ces maisons nous soient vendues », a-t-elle plaidé. Ce souhait est partagé par tous les habitants.
Cette sortie des résidents leur a permis d’être reçus par Konin Aka, préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké sur son invitation. La délégation conduite par Touré Ibrahima, président du comité des résidents de la cité Cnps, a remis au préfet de région un document dénommé « Plaidoyer pour la rétrocession des logements de l’habitat de la caisse ».
Bouaké: Les résidents de la cité Cnps manifestent contre leur expulsion
Pour avoir été menacés d’expulsion dans six mois par la Sicogi, les résidents de la cité Cnps et particulièrement les « mamans » ont manifesté leur désapprobation par rapport à cette mise en demeure, en bloquant la voie qui mène à l’aéroport ce mardi 14 mars, dans la matinée.
A l'aide d'un mégaphone, ces « mamans » ont crié leur mécontentement. Et pour cause, la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps) a commis un huissier pour qu’il vienne remettre ce mardi 14 mars, à chaque résident un avis d’expulsion dans six mois. Sous le prétexte de vouloir réhabiliter les maisons. Ce qui n’était pas du goût des résidents qui ont décidé de se faire entendre afin que les plus hautes autorités viennent à leur « secours ».
« Nous avons manifesté pour dire non à cette expulsion. L’habitat Cnps est devenu comme notre village. Je suis dans cette cité depuis 1987 », a déclaré Mme Cécile Djouro, une veuve. « Ce que nous souhaitons c’est que ces maisons nous soient vendues », a-t-elle plaidé. Ce souhait est partagé par tous les habitants.
Cette sortie des résidents leur a permis d’être reçus par Konin Aka, préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké sur son invitation. La délégation conduite par Touré Ibrahima, président du comité des résidents de la cité Cnps, a remis au préfet de région un document dénommé « Plaidoyer pour la rétrocession des logements de l’habitat de la caisse ».