Monsieur le Président,
Je voudrais vous adresser les félicitati-ons de la délégation ivoirienne pour la conduite des débats et vous assurer de notre pleine collaboration pour le succès des travaux.
Je voudrais également transmettre les meilleures salutations du Gouvernement de Côte d’Ivoire à la Directrice Exécutive de l’ONU FEMMES pour le choix du thème prioritaire de cette Session de la Commission de la Condition de la Femme.
Ma délégation souscrit à la déclaration faite par l’Equateur au nom du Groupe des 77 + la Chine, ainsi que de celle du Nigeria au nom des Etats africains.
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,
Avec l’accession au pouvoir du Prési-dent de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA en 2011, les réalisations les plus impor-tantes de notre pays en matière de promotion de l'égalité des sexes et de l'autonomisation des femmes sont enre-gistrées à plusieurs niveaux.
Au niveau juridique et institutionnel, l’Etat de Côte d’Ivoire a entrepris un vaste chantier de réformes relatives aux textes et aux institutions.
L’Etat ivoirien a procédé à l’abrogation, la modification ou l’adoption de textes de lois, comme le témoigne l’adoption récente d’une nouvelle Constitution.
Cette Constitution, en ses articles 35, 36 et 37, renforce la protection des droits des femmes et assure la promo-tion de la parité entre les sexes dans l’accès aux responsabilités dans les ins-titutions, les administrations et dans les entreprises.
Au niveau de l’autonomisation socio-économique des femmes, l’accès aux crédits financiers a été facilité à travers la mise en place de fonds spéciaux tels que le « Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) ».
Grâce à l’engagement de Madame la Première Dame de notre pays, Madame Dominique OUATTARA, et avec le sou-tien total du Gouvernement, ce Fonds Spécial a permis à plusieurs milliers de femmes d’accéder facilement à des res-sources financières à coût réduit et de leur ouvrir l’accès aux marchés, à l’information et à la technologie.
De plus, en matière d’éducation, d’importantes réformes ont été initiées par le Gouvernement qui méritent d’être renforcées et soutenues.
Il s’agit notamment de la loi sur l’école adoptée en 2015 rendant obligatoire la scolarisation de tous les enfants, filles et garçons, âgées 6 à 16 ans.
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,
Les femmes constituent 48,3% de la population ivoirienne ; elles sont pré-sentes dans tous les secteurs d’activités et font vivre l’économie nationale.
Face à la persistance des défis auxquels elles sont confrontées, l’Etat de Côte d’Ivoire entend :
•poursuivre la finalisation des reformes législatives, notamment l’opérationnalisation de la loi sur la pa-rité ;
•accroître les opportunités écono-miques des femmes ;
•renforcer la participation des femmes et leur inclusion dans les processus décisionnels.
•réduire le taux d’analphabétisme des femmes à travers des approches plus innovantes d’alphabétisation.
Le Gouvernement de Côte d’Ivoire en-tend combattre toutes les barrières qui entravent l’autonomisation économique des femmes et éliminer toutes les formes de discrimination entre les sexes qui persistent aussi bien en mi-lieu rural qu’en milieu urbain.
JE VOUS REMERCIE DE VOTRE AI-MABLE ATTENTION
Fait à New York, le 15 mars 2017
Mariatou KONE
Ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité
Je voudrais vous adresser les félicitati-ons de la délégation ivoirienne pour la conduite des débats et vous assurer de notre pleine collaboration pour le succès des travaux.
Je voudrais également transmettre les meilleures salutations du Gouvernement de Côte d’Ivoire à la Directrice Exécutive de l’ONU FEMMES pour le choix du thème prioritaire de cette Session de la Commission de la Condition de la Femme.
Ma délégation souscrit à la déclaration faite par l’Equateur au nom du Groupe des 77 + la Chine, ainsi que de celle du Nigeria au nom des Etats africains.
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,
Avec l’accession au pouvoir du Prési-dent de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA en 2011, les réalisations les plus impor-tantes de notre pays en matière de promotion de l'égalité des sexes et de l'autonomisation des femmes sont enre-gistrées à plusieurs niveaux.
Au niveau juridique et institutionnel, l’Etat de Côte d’Ivoire a entrepris un vaste chantier de réformes relatives aux textes et aux institutions.
L’Etat ivoirien a procédé à l’abrogation, la modification ou l’adoption de textes de lois, comme le témoigne l’adoption récente d’une nouvelle Constitution.
Cette Constitution, en ses articles 35, 36 et 37, renforce la protection des droits des femmes et assure la promo-tion de la parité entre les sexes dans l’accès aux responsabilités dans les ins-titutions, les administrations et dans les entreprises.
Au niveau de l’autonomisation socio-économique des femmes, l’accès aux crédits financiers a été facilité à travers la mise en place de fonds spéciaux tels que le « Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) ».
Grâce à l’engagement de Madame la Première Dame de notre pays, Madame Dominique OUATTARA, et avec le sou-tien total du Gouvernement, ce Fonds Spécial a permis à plusieurs milliers de femmes d’accéder facilement à des res-sources financières à coût réduit et de leur ouvrir l’accès aux marchés, à l’information et à la technologie.
De plus, en matière d’éducation, d’importantes réformes ont été initiées par le Gouvernement qui méritent d’être renforcées et soutenues.
Il s’agit notamment de la loi sur l’école adoptée en 2015 rendant obligatoire la scolarisation de tous les enfants, filles et garçons, âgées 6 à 16 ans.
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,
Les femmes constituent 48,3% de la population ivoirienne ; elles sont pré-sentes dans tous les secteurs d’activités et font vivre l’économie nationale.
Face à la persistance des défis auxquels elles sont confrontées, l’Etat de Côte d’Ivoire entend :
•poursuivre la finalisation des reformes législatives, notamment l’opérationnalisation de la loi sur la pa-rité ;
•accroître les opportunités écono-miques des femmes ;
•renforcer la participation des femmes et leur inclusion dans les processus décisionnels.
•réduire le taux d’analphabétisme des femmes à travers des approches plus innovantes d’alphabétisation.
Le Gouvernement de Côte d’Ivoire en-tend combattre toutes les barrières qui entravent l’autonomisation économique des femmes et éliminer toutes les formes de discrimination entre les sexes qui persistent aussi bien en mi-lieu rural qu’en milieu urbain.
JE VOUS REMERCIE DE VOTRE AI-MABLE ATTENTION
Fait à New York, le 15 mars 2017
Mariatou KONE
Ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité