Sous La houlette du Ministère de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, la Direction Générale des Ivoiriens de l’Extérieur (DGIE) en collaboration avec la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté a convié la presse nationale et internationale à un déjeuner qui s’est tenu dans la matinée du vendredi 17 mars, à Abidjan.
Au cours de cette cérémonie, il a été essentiellement question pour la Direction Générale des Ivoiriens de l’Extérieur de présenter les activités qu’elle a menées depuis sa création et surtout de solliciter le concours de la presse dans la recherche de solutions face au phénomène de migration irrégulière.
En effet, la DGIE qui s’attèle à l’exécution de ses missions relatives à l’assistance des ivoiriens vivant à l’étranger, à leur apporter un appui à leur réinsertion socio économique et culturelle et à la mobilisation des compétences de la diaspora est aujourd’hui confrontée à la question de l’immigration clandestine de jeunes ivoiriens et son corollaire de pertes en vies humaines.
Ce pourquoi, le Directeur de Cabinet du Ministère de l’Intégration Africaine, M. Diamouténé Alassane Zié a saisi cette opportunité pour exhorter les jeunes ivoiriens à rester dans leur pays pour y participer au développement.
Selon lui, ‘’on peut migrer, mais par les voies légales’’. Il a donc insisté sur la nécessité d’étendre la sensibilisation aux communautés ivoiriennes, de créer des comités régionaux pour renforcer cette initiative tout en mettant un accent sur la détection des filières locales de passeurs.
Quant à Mme Sophie Konaté, représentante de la Fondation Friedrich Naumann qui a lancé depuis juin 2016 une campagne contre l’immigration clandestine, l’objectif n’est pas d’empêcher la migration mais de décourager la migration par la Lybie et la Méditerranée dont la traversée est périlleuse.
Le Directeur Général des Ivoiriens de l’Extérieur, M. Konaté Issiaka a pour sa part avec des chiffres expliqué l’ampleur de ce phénomène qui entache l’image de la Côte d’Ivoire. Ce sont notamment ‘’ 180 clandestins ivoiriens qui à ce jour ont décidé de revenir de la Lybie pendant que 1000 personnes sont déjà revenues’’.
Il a également souligné que 200 000 subsahariens sont positionnés entre la Lybie et la Méditerranée pour lesquels il y a lieu d’accentuer la politique de sensibilisation et de prévention contre la migration irrégulière.
JA
Au cours de cette cérémonie, il a été essentiellement question pour la Direction Générale des Ivoiriens de l’Extérieur de présenter les activités qu’elle a menées depuis sa création et surtout de solliciter le concours de la presse dans la recherche de solutions face au phénomène de migration irrégulière.
En effet, la DGIE qui s’attèle à l’exécution de ses missions relatives à l’assistance des ivoiriens vivant à l’étranger, à leur apporter un appui à leur réinsertion socio économique et culturelle et à la mobilisation des compétences de la diaspora est aujourd’hui confrontée à la question de l’immigration clandestine de jeunes ivoiriens et son corollaire de pertes en vies humaines.
Ce pourquoi, le Directeur de Cabinet du Ministère de l’Intégration Africaine, M. Diamouténé Alassane Zié a saisi cette opportunité pour exhorter les jeunes ivoiriens à rester dans leur pays pour y participer au développement.
Selon lui, ‘’on peut migrer, mais par les voies légales’’. Il a donc insisté sur la nécessité d’étendre la sensibilisation aux communautés ivoiriennes, de créer des comités régionaux pour renforcer cette initiative tout en mettant un accent sur la détection des filières locales de passeurs.
Quant à Mme Sophie Konaté, représentante de la Fondation Friedrich Naumann qui a lancé depuis juin 2016 une campagne contre l’immigration clandestine, l’objectif n’est pas d’empêcher la migration mais de décourager la migration par la Lybie et la Méditerranée dont la traversée est périlleuse.
Le Directeur Général des Ivoiriens de l’Extérieur, M. Konaté Issiaka a pour sa part avec des chiffres expliqué l’ampleur de ce phénomène qui entache l’image de la Côte d’Ivoire. Ce sont notamment ‘’ 180 clandestins ivoiriens qui à ce jour ont décidé de revenir de la Lybie pendant que 1000 personnes sont déjà revenues’’.
Il a également souligné que 200 000 subsahariens sont positionnés entre la Lybie et la Méditerranée pour lesquels il y a lieu d’accentuer la politique de sensibilisation et de prévention contre la migration irrégulière.
JA