Gagnoa - Une nonagénaire mal voyante et handicapée physique, Gnaléko Micheline, a été retrouvée morte calcinée dans sa chambre à coucher dans la journée du samedi, à la suite d’un incendie provoqué par un matelas enflammé, au quartier "Nairayville" de Gagnoa.
C’est aux environs de 09H00 du matin, que les flammes de l’incendie ont commencé à être visibles depuis l’extérieur de la villa où logeait la vieille Gnaléko, rapportent les témoins. On ignore encore les origines de l’incendie du matelas provenant de la chambre voisine occupée par une adolescente.
«Mamie est aveugle et très malade», a précisé un autre adolescent, petits-fils de la vieille, et habitant de la maison. C’est pour l’aider à surmonter son handicap, que ses enfants lui ont pris une servante personnelle, qui s’était absentée quelques minutes, explique un autre témoin.
Les secours ont cassé en vain une façade du mûr de la concession, afin d’aider à maîtriser l’incendie, et tenter de sauver la vieille dame des flammes.
C’est le deuxième incendie de domicile à Gagnoa, dans lequel il y a eu mort d’hommes, après celui survenu au quartier "Zapata" en septembre 2016, au cours duquel, sept personnes d’une même famille avaient péri calcinée.
dd/kam
C’est aux environs de 09H00 du matin, que les flammes de l’incendie ont commencé à être visibles depuis l’extérieur de la villa où logeait la vieille Gnaléko, rapportent les témoins. On ignore encore les origines de l’incendie du matelas provenant de la chambre voisine occupée par une adolescente.
«Mamie est aveugle et très malade», a précisé un autre adolescent, petits-fils de la vieille, et habitant de la maison. C’est pour l’aider à surmonter son handicap, que ses enfants lui ont pris une servante personnelle, qui s’était absentée quelques minutes, explique un autre témoin.
Les secours ont cassé en vain une façade du mûr de la concession, afin d’aider à maîtriser l’incendie, et tenter de sauver la vieille dame des flammes.
C’est le deuxième incendie de domicile à Gagnoa, dans lequel il y a eu mort d’hommes, après celui survenu au quartier "Zapata" en septembre 2016, au cours duquel, sept personnes d’une même famille avaient péri calcinée.
dd/kam