La soixante et unième session de la Commission de la Condition de la Femme (CSW) s’est tenue du 13 au 23 mars 2017 au siège de l’ONU à New York sous le thème : « Autonomisation économique des femmes dans un monde du travail en pleine évolution ».
Cette cession a enregistré la présence de plusieurs pays, institutions, Organisations non gouvernementales et la société civile.
La Ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, le Professeur Mariatou KONE a conduit la délégation ivoirienne.
Durant cette session, les participants et experts ont abordé les questions relatives à la condition et à l’autonomisation économique des femmes, à la traite des personnes, aux violences basées sur le genre, à l’égalité homme et femme et à bien d’autres thématiques.
En marge de la cérémonie d’ouverture et des séances de déclarations, la Ministre Mariatou KONE a animé et présidé plusieurs panels de haut niveau notamment celui co organisé par l’ONG CARE et co parrainé par l’Organisation internationale de la francophonie et le Ministère des familles de l’enfance et des droits des femmes de la France sous le thème Autonomisation économique des femmes et inclusion financière :des leviers clés pour un développement juste et durable.
L’on pouvait remarquer à la table de séance des intervenants de haut rang dont Mme Michaëlle Jean, Secrétaire générale de l’OIF, La Ministre Mariatou KONE, Le Sous secrétaire général de l’ONU et Directeur exécutif adjoint aux politiques et programmes d’ONU Femmes, la Ministre française en charge des familles ainsi que la Directrice générale adjointe de la coalition pour la Cour pénale internationale.
La Ministre Mariatou KONE a saisi cette opportunité pour parler des avancées au niveau politique mais également des défis au niveau des investissements et des comportements. Elle a relevé les actions de grande envergure réalisées par la Côte d’Ivoire depuis l’accession à la magistrature suprême du président de la république son Excellence M. Alassane OUATTARA, notamment l’inscription de la parité dans la nouvelle constitution, la création d’un fonds d’appui aux femmes par la première dame de Côte d’ivoire, l’école obligatoire pour tous, l’existence d’un fonds au Ministère de la femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité et bien d’autres projets lancés par l’Etat de Côte d’Ivoire pour apporter des réponses concrètes aux problèmes des femmes.
Outre ce panel, La Ministre a mis à profit son séjour par des rencontres et séances de travail et d’échanges avec plusieurs institutions et partenaires, il s’agit entre autres de ONU Femmes, UNFPA, CEDEAO, OIF et bien d’autres.
La Sociologue Anthropologue a ensuite mis le cap sur la mission permanente de la Côte d’Ivoire aux Nations Unies où l’attendaient les présidentes d’associations de femmes ivoiriennes résidant à New York.
Les échanges qui ont duré environs deux heures d’horloge ont porté sur la cohésion sociale, l’union et les projets à venir.
La Ministre a invité les associations à s’unir et à s’organiser. Elle les a surtout exhortées à mettre fin aux querelles et à développer des projets.
La commission de la condition féminine (CSW) est une commission fonctionnelle du conseil économique et social (résolution 11).il s’agit du principal organe intergouvernemental à l’échelle mondiale dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. Chaque session annuelle de la CSW se consacre à un thème spécifique pertinent au regard des questions structurelles et émergentes relatives au genre et à la condition féminine dans le monde.
Conformément à son programme de travail multi annuel (2017-2020), la soixante et unième session de la commission de la condition féminine , a pour thème prioritaire « l’autonomisation économique des femmes dans un monde du travail en pleine évolution «. La commission examinera ces questions dans le cadre de la déclaration universelle des droits de l’homme ,du pacte international relatif aux droits économiques ,sociaux et culturels ,de la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, de la déclaration de Beijing et de sa plateforme d’actions ,des conventions pertinentes de l’organisation mondiale du travail ,notamment la convention 189 sur le travail décent pour les travailleuses et travailleurs domestiques et la convention 156 sur l’égalité des chances et de traitement pour les travailleurs des deux sexes et du programme de développement durable à l’horizon 2030.
XEF MFPES
Cette cession a enregistré la présence de plusieurs pays, institutions, Organisations non gouvernementales et la société civile.
La Ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, le Professeur Mariatou KONE a conduit la délégation ivoirienne.
Durant cette session, les participants et experts ont abordé les questions relatives à la condition et à l’autonomisation économique des femmes, à la traite des personnes, aux violences basées sur le genre, à l’égalité homme et femme et à bien d’autres thématiques.
En marge de la cérémonie d’ouverture et des séances de déclarations, la Ministre Mariatou KONE a animé et présidé plusieurs panels de haut niveau notamment celui co organisé par l’ONG CARE et co parrainé par l’Organisation internationale de la francophonie et le Ministère des familles de l’enfance et des droits des femmes de la France sous le thème Autonomisation économique des femmes et inclusion financière :des leviers clés pour un développement juste et durable.
L’on pouvait remarquer à la table de séance des intervenants de haut rang dont Mme Michaëlle Jean, Secrétaire générale de l’OIF, La Ministre Mariatou KONE, Le Sous secrétaire général de l’ONU et Directeur exécutif adjoint aux politiques et programmes d’ONU Femmes, la Ministre française en charge des familles ainsi que la Directrice générale adjointe de la coalition pour la Cour pénale internationale.
La Ministre Mariatou KONE a saisi cette opportunité pour parler des avancées au niveau politique mais également des défis au niveau des investissements et des comportements. Elle a relevé les actions de grande envergure réalisées par la Côte d’Ivoire depuis l’accession à la magistrature suprême du président de la république son Excellence M. Alassane OUATTARA, notamment l’inscription de la parité dans la nouvelle constitution, la création d’un fonds d’appui aux femmes par la première dame de Côte d’ivoire, l’école obligatoire pour tous, l’existence d’un fonds au Ministère de la femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité et bien d’autres projets lancés par l’Etat de Côte d’Ivoire pour apporter des réponses concrètes aux problèmes des femmes.
Outre ce panel, La Ministre a mis à profit son séjour par des rencontres et séances de travail et d’échanges avec plusieurs institutions et partenaires, il s’agit entre autres de ONU Femmes, UNFPA, CEDEAO, OIF et bien d’autres.
La Sociologue Anthropologue a ensuite mis le cap sur la mission permanente de la Côte d’Ivoire aux Nations Unies où l’attendaient les présidentes d’associations de femmes ivoiriennes résidant à New York.
Les échanges qui ont duré environs deux heures d’horloge ont porté sur la cohésion sociale, l’union et les projets à venir.
La Ministre a invité les associations à s’unir et à s’organiser. Elle les a surtout exhortées à mettre fin aux querelles et à développer des projets.
La commission de la condition féminine (CSW) est une commission fonctionnelle du conseil économique et social (résolution 11).il s’agit du principal organe intergouvernemental à l’échelle mondiale dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. Chaque session annuelle de la CSW se consacre à un thème spécifique pertinent au regard des questions structurelles et émergentes relatives au genre et à la condition féminine dans le monde.
Conformément à son programme de travail multi annuel (2017-2020), la soixante et unième session de la commission de la condition féminine , a pour thème prioritaire « l’autonomisation économique des femmes dans un monde du travail en pleine évolution «. La commission examinera ces questions dans le cadre de la déclaration universelle des droits de l’homme ,du pacte international relatif aux droits économiques ,sociaux et culturels ,de la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, de la déclaration de Beijing et de sa plateforme d’actions ,des conventions pertinentes de l’organisation mondiale du travail ,notamment la convention 189 sur le travail décent pour les travailleuses et travailleurs domestiques et la convention 156 sur l’égalité des chances et de traitement pour les travailleurs des deux sexes et du programme de développement durable à l’horizon 2030.
XEF MFPES