FONDS NATIONAL CATHOLIQUE. La Conférence des évêques catholiques invite l’ensemble des chrétiens catholiques à cotiser au moins 500 F Cfa afin de rendre plus autonome l’Eglise en Côte d’Ivoire.
Objectif : collecter 1 milliard de francs Cfa à la fête de la Pentecôte 2017. C’est ce message qu’a livré Mgr Ignace Bessi Dogbo, président du Conseil d’administration du Fonds national catholique, dimanche 12 mars dernier, à la cathédrale saint André de Yopougon. Au cours de la messe, Mgr Ignace Bessi a insisté sur les valeurs de la charité et de la solidarité qui constituent le socle du Fonds national catholique. Il a invité les chrétiens catholiques, les communautés et groupes de prière de l’Eglise à s’approprier ces valeurs pour donner une autonomie financière à l’Eglise en terre ivoirienne. C’est une œuvre importante. L’exemple de l’Eglise en Europe devrait nous encourager, a-t-il affirmé. Car l’Eglise catholique a contribué à la construction et au développement de l’Europe a fait savoir Mgr Ignace. « Le Fonds national catholique peut aussi participer à la construction de la société ivoirienne (…) parce que ses enfants auront de quoi vivre et subvenir à leurs besoins légitimes. Voici en quelques mots les objectifs que s’est fixé le fonds, une autonomie dans la solidarité », a déclaré l’évêque de Katiola, au lancement des activités dudit fonds. Avant de poursuivre : « Le Fonds national catholique, c’est l’avenir de l’Eglise dans la solidarité (…) Que tous les diocèses mettent les moyens ensemble pour arriver à l’autonomie. Et que les prêtres, religieux et laïcs issus de la Côte d’Ivoire disposent de moyens financiers pour annoncer Jésus Christ dans la liberté sans tendre la main et permettre surtout à la charité d’être vécue ». Pour cette 4ème édition 2017, il a exhorté les fidèles à passer à la vitesse supérieure en cotisant plus de 500 F Cfa par personne pour atteindre le montant d’un milliard de F Cfa. Pour que le fonds atteigne son objectif, l’évêque de Katiola a mis à contribution les prêtres des paroisses et les délégués diocésains en vue de sensibiliser les chrétiens sur la nécessité pour l’Eglise d’être autonome.
Par M. Madjessou
Objectif : collecter 1 milliard de francs Cfa à la fête de la Pentecôte 2017. C’est ce message qu’a livré Mgr Ignace Bessi Dogbo, président du Conseil d’administration du Fonds national catholique, dimanche 12 mars dernier, à la cathédrale saint André de Yopougon. Au cours de la messe, Mgr Ignace Bessi a insisté sur les valeurs de la charité et de la solidarité qui constituent le socle du Fonds national catholique. Il a invité les chrétiens catholiques, les communautés et groupes de prière de l’Eglise à s’approprier ces valeurs pour donner une autonomie financière à l’Eglise en terre ivoirienne. C’est une œuvre importante. L’exemple de l’Eglise en Europe devrait nous encourager, a-t-il affirmé. Car l’Eglise catholique a contribué à la construction et au développement de l’Europe a fait savoir Mgr Ignace. « Le Fonds national catholique peut aussi participer à la construction de la société ivoirienne (…) parce que ses enfants auront de quoi vivre et subvenir à leurs besoins légitimes. Voici en quelques mots les objectifs que s’est fixé le fonds, une autonomie dans la solidarité », a déclaré l’évêque de Katiola, au lancement des activités dudit fonds. Avant de poursuivre : « Le Fonds national catholique, c’est l’avenir de l’Eglise dans la solidarité (…) Que tous les diocèses mettent les moyens ensemble pour arriver à l’autonomie. Et que les prêtres, religieux et laïcs issus de la Côte d’Ivoire disposent de moyens financiers pour annoncer Jésus Christ dans la liberté sans tendre la main et permettre surtout à la charité d’être vécue ». Pour cette 4ème édition 2017, il a exhorté les fidèles à passer à la vitesse supérieure en cotisant plus de 500 F Cfa par personne pour atteindre le montant d’un milliard de F Cfa. Pour que le fonds atteigne son objectif, l’évêque de Katiola a mis à contribution les prêtres des paroisses et les délégués diocésains en vue de sensibiliser les chrétiens sur la nécessité pour l’Eglise d’être autonome.
Par M. Madjessou