Le Secrétariat Exécutif du Comité de Concertation Etat/Secteur Privé, a organisé la première réunion du Comité Technique de Concertation (CTC) de l’année 2017, sous la présidence du Ministre de l’Economie et des Finances, M. Adama Koné, Président du Comité Technique de Concertation.
La rencontre tenue le Jeudi 23 mars 2017, a été consacrée à l’examen des problématiques du secteur privé, présentées d’une part en mesures nécessitant une décision et d’autre part, des mesures nécessitant la mise en place de groupes de travail pour des pistes de solutions.
Au terme de cette première grande rencontre avec le secteur privé, d’importantes décisions ont été retenues, en vue de soutenir le secteur privé dans les différents domaines de l’activité économique.
Ainsi, concernant les mesures nécessitant une décision, le CTC a dans un premier temps, programmé le 29 mars 2017, une réunion en vue de réactiver les travaux de la Commission sur la Compétitivité des Ports. Le conseil a également décidé d’intégrer la CGECI au Comité de suivi du Règlement 14, dont la prochaine rencontre est prévue pour le vendredi 24 mars 2017.
Le CTC a en outre demandé au Groupement Professionnel des Miniers de s’impliquer davantage dans les efforts de lutte contre l’orpaillage clandestin et a promis soumettre au gouvernement, l’analyse de l’impact de la dérogation à la mesure de suspension de l’importation du sucre souhaitée par certains industriels.
Au titre des mesures nécessitant la mise en place de groupes de Travail, six (6) ont été identifiées en fonction des thématiques, afin d’examiner les dossiers et soumettre les recommandations à la prochaine réunion du CTC, prévue le 27 avril prochain.
Il s’agit du groupe de travail sur la fiscalité dans la filière hévéa et café cacao, de celui sur la rationalisation de la fiscalité environnementale, puis sur les arriérés de créances publiques des entreprises.
Les préoccupations du secteur privé sur la hausse des coûts des facteurs, dont les tarifs de l’électricité, sur la fixation des redevances liées à l’utilisation des œuvres littéraires et artistiques, puis sur la congestion au niveau du Port Autonome d’Abidjan devront également constituées d’autres groupes de travail.
Selon Mariam Fadiga, Secrétaire technique du CCESP, « le Comité de Concertation demeure un bon instrument pour accompagner la redynamisation du dialogue entre l’Etat et le secteur privé ivoirien ».
En ce sens, les problématiques relevées au cours de ce premier Comité Technique de Concertation dénotent de la volonté du Gouvernement à soutenir les activités du secteur privé.
La rencontre tenue le Jeudi 23 mars 2017, a été consacrée à l’examen des problématiques du secteur privé, présentées d’une part en mesures nécessitant une décision et d’autre part, des mesures nécessitant la mise en place de groupes de travail pour des pistes de solutions.
Au terme de cette première grande rencontre avec le secteur privé, d’importantes décisions ont été retenues, en vue de soutenir le secteur privé dans les différents domaines de l’activité économique.
Ainsi, concernant les mesures nécessitant une décision, le CTC a dans un premier temps, programmé le 29 mars 2017, une réunion en vue de réactiver les travaux de la Commission sur la Compétitivité des Ports. Le conseil a également décidé d’intégrer la CGECI au Comité de suivi du Règlement 14, dont la prochaine rencontre est prévue pour le vendredi 24 mars 2017.
Le CTC a en outre demandé au Groupement Professionnel des Miniers de s’impliquer davantage dans les efforts de lutte contre l’orpaillage clandestin et a promis soumettre au gouvernement, l’analyse de l’impact de la dérogation à la mesure de suspension de l’importation du sucre souhaitée par certains industriels.
Au titre des mesures nécessitant la mise en place de groupes de Travail, six (6) ont été identifiées en fonction des thématiques, afin d’examiner les dossiers et soumettre les recommandations à la prochaine réunion du CTC, prévue le 27 avril prochain.
Il s’agit du groupe de travail sur la fiscalité dans la filière hévéa et café cacao, de celui sur la rationalisation de la fiscalité environnementale, puis sur les arriérés de créances publiques des entreprises.
Les préoccupations du secteur privé sur la hausse des coûts des facteurs, dont les tarifs de l’électricité, sur la fixation des redevances liées à l’utilisation des œuvres littéraires et artistiques, puis sur la congestion au niveau du Port Autonome d’Abidjan devront également constituées d’autres groupes de travail.
Selon Mariam Fadiga, Secrétaire technique du CCESP, « le Comité de Concertation demeure un bon instrument pour accompagner la redynamisation du dialogue entre l’Etat et le secteur privé ivoirien ».
En ce sens, les problématiques relevées au cours de ce premier Comité Technique de Concertation dénotent de la volonté du Gouvernement à soutenir les activités du secteur privé.