Abidjan - La conférence des parties à la convention relative à la coopération en matière de protection et de mise en valeur du milieu marin et des zones côtières de la côte Atlantique de la région de l’Afrique de l’Ouest, du Centre et du Sud ou Cop 12 a été l’occasion pour la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, Anne Désirée Ouloto d’inviter à une synergie d’actions pour la sauvegarde des écosystèmes marins et côtiers.
Procédant lundi, à Abidjan, à l’ouverture de ces assises accueillies par la Côte d’Ivoire sur le thème, « Politique de gestion intégrée des océans en Afrique », elle a invité les pays africains sujets à ce phénomène de pollution et de destruction des côtes et du milieu marin, à agir « ensemble en toute responsabilité avec bon sens et rapidité pour le bien de l’humanité », estimant que « le chantier est immense ».
Selon Anne Ouloto, les actions de l’homme sont en grande partie à la base des dommages que subissent les ressources marines et côtières. « Nul n’ignore que 80% de la pollution marine provient des activités humaines », a-t-elle indiqué, ajoutant que le manque de coordination au niveau national et régional, annihilent les efforts visant à adresser la question.
Elle a mis en relief la nécessité de cette convention qui, selon elle, permettra de renforcer des liens de coopération entre les Etats, surtout « qu’il y va de la sauvegarde des écosystèmes marins et côtiers, au regard des multiples services qu’ils fournissent », a-t-elle précisé. Elle a expliqué que la Cop 12 va évaluer le programme de travail du secrétariat exécutif de 2015 à 2017, avant d’élaborer le programme des trois années à venir.
Le secrétaire exécutif de la convention d’Abidjan, Abou Bamba a expliqué que les enjeux de cette conférence sont d’ordres environnementaux et politiques, notamment l’identification des problèmes auxquels sont confrontés les océans et les côtes en Afrique et le cadre de gouvernance devant permettre d’adresser tous les problèmes avec les acteurs.
gak/fmo
Procédant lundi, à Abidjan, à l’ouverture de ces assises accueillies par la Côte d’Ivoire sur le thème, « Politique de gestion intégrée des océans en Afrique », elle a invité les pays africains sujets à ce phénomène de pollution et de destruction des côtes et du milieu marin, à agir « ensemble en toute responsabilité avec bon sens et rapidité pour le bien de l’humanité », estimant que « le chantier est immense ».
Selon Anne Ouloto, les actions de l’homme sont en grande partie à la base des dommages que subissent les ressources marines et côtières. « Nul n’ignore que 80% de la pollution marine provient des activités humaines », a-t-elle indiqué, ajoutant que le manque de coordination au niveau national et régional, annihilent les efforts visant à adresser la question.
Elle a mis en relief la nécessité de cette convention qui, selon elle, permettra de renforcer des liens de coopération entre les Etats, surtout « qu’il y va de la sauvegarde des écosystèmes marins et côtiers, au regard des multiples services qu’ils fournissent », a-t-elle précisé. Elle a expliqué que la Cop 12 va évaluer le programme de travail du secrétariat exécutif de 2015 à 2017, avant d’élaborer le programme des trois années à venir.
Le secrétaire exécutif de la convention d’Abidjan, Abou Bamba a expliqué que les enjeux de cette conférence sont d’ordres environnementaux et politiques, notamment l’identification des problèmes auxquels sont confrontés les océans et les côtes en Afrique et le cadre de gouvernance devant permettre d’adresser tous les problèmes avec les acteurs.
gak/fmo