Pour faire face à l’érosion côtière qui prend de l’ampleur avec des conséquences environnementales importantes, les pays de l’Afrique de l’Ouest donnant sur littoral se mobilisent dans l’action et la réflexion. En marge de la Cop 12 à Abidjan, les représentants de la Côte d’Ivoire, la Gambie, la Mauritanie, le Gabo Verde, la Guinée, la Sierra Leone, le Ghana, le Libéria, le Togo, le Benin, le Nigeria, le Sénégal, la Guinée-Bissau ont échangé autour du thème : ‘’Initiative régionale pour le renforcement de la résilience côtière en Afrique de l’Ouest’’. C’était hier à la résidence le Vaisseau de la 7è Tranche à Cocody, en présence du Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD), Anne Désirée Ouloto.
Dans son adresse, l’autorité gouvernementale a mis le doigt sur les graves menaces que constituent l’érosion, la pollution, l’élévation du niveau de la mer, les tempêtes et les phénomènes météorologiques sur la vie et l’existence des populations. ‘’Si nous n’agissons pas maintenant, la combinaison de tous ces facteurs s’accentuera et conduira à une perte sévère de la ligne de côte. Il nous conduira également à la dégradation des écosystèmes côtiers avec pour résultat, en particulier, des inondations et l’épuisement de ressources de pêche’’, a prévenu le MINSEDD révélant que de 1996 à ce jour plus de 250 personnes ont perdu la vie et 6000 ménages se sont retrouvés dans une situation d’extrême vulnérabilité.
C’est pourquoi, au nom du Gouvernement ivoirien, Anne-Désirée Ouloto a encouragé ce genre d’actions concrètes initiées par les parties prenantes et les différents partenaires du développement, qui ont un impact significatif sur l’amélioration des conditions de vie des populations et l’accroissement de la résilience côtière.
Abou Bamba, le Secrétaire Exécutif de la Convention d’Abidjan a planté le décor, situant tous les participants sur la pertinence de la Réunion régionale de concertation et de coordination.
Jean Yves Pirot, Directeur de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et Directeur de l’Unité de coordination du fonds vert pour le climat a estimé pertinent d’engager un projet sur le renforcement de la résilience côtière qui prend en compte la conservation et la protection de la mangrove. Il a affirmé que son institution développe un programme de petites bourses pour des recherches en vue d’accroitre la résilience des côtes.
La réunion d’Abidjan, il faut le préciser, devrait déboucher sur des actions fortes et concrètes pour accroitre la résilience des économies ou à travers des assistances techniques pour aider les pays faire face aux défis climatiques, comme l’a recommandé le Ministre Anne-Désirée Ouloto.
Dans son adresse, l’autorité gouvernementale a mis le doigt sur les graves menaces que constituent l’érosion, la pollution, l’élévation du niveau de la mer, les tempêtes et les phénomènes météorologiques sur la vie et l’existence des populations. ‘’Si nous n’agissons pas maintenant, la combinaison de tous ces facteurs s’accentuera et conduira à une perte sévère de la ligne de côte. Il nous conduira également à la dégradation des écosystèmes côtiers avec pour résultat, en particulier, des inondations et l’épuisement de ressources de pêche’’, a prévenu le MINSEDD révélant que de 1996 à ce jour plus de 250 personnes ont perdu la vie et 6000 ménages se sont retrouvés dans une situation d’extrême vulnérabilité.
C’est pourquoi, au nom du Gouvernement ivoirien, Anne-Désirée Ouloto a encouragé ce genre d’actions concrètes initiées par les parties prenantes et les différents partenaires du développement, qui ont un impact significatif sur l’amélioration des conditions de vie des populations et l’accroissement de la résilience côtière.
Abou Bamba, le Secrétaire Exécutif de la Convention d’Abidjan a planté le décor, situant tous les participants sur la pertinence de la Réunion régionale de concertation et de coordination.
Jean Yves Pirot, Directeur de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et Directeur de l’Unité de coordination du fonds vert pour le climat a estimé pertinent d’engager un projet sur le renforcement de la résilience côtière qui prend en compte la conservation et la protection de la mangrove. Il a affirmé que son institution développe un programme de petites bourses pour des recherches en vue d’accroitre la résilience des côtes.
La réunion d’Abidjan, il faut le préciser, devrait déboucher sur des actions fortes et concrètes pour accroitre la résilience des économies ou à travers des assistances techniques pour aider les pays faire face aux défis climatiques, comme l’a recommandé le Ministre Anne-Désirée Ouloto.