Abidjan – Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a évoqué les efforts consentis par le gouvernement ivoirien pour fixer le prix du kilogramme du cacao à 700 FCFA pour la campagne intermédiaire qui s’ouvre samedi.
« Le gouvernement a décidé de renoncer à une partie de ses ressources publiques » pour fixer le prix à ce niveau, a révélé le ministre vendredi à Afrikland Hôtel de Grand-Bassam, à l’occasion du séminaire-bilan de son département.
Le ministre qui s’exprimait au lendemain de l’annonce du prix d’achat du cacao fixé à 700 FCFA pour la campagne intermédiaire (1er avril au 30 septembre), a rappelé que les cours de la fève ont chuté de 35% sur le marché international.
Pour la campagne principale qui s’achève, le cacao était acheté à 1 100 FCFA/kg bord champ. Le Président Alassane Ouattara ayant toujours donné des instructions pour que 60% du prix CAF revienne aux producteurs, souligne-t-on.
Sangafowa Coulibaly qui est également président de la 29ème conférence régionale pour l’Afrique de la FAO, a profité de l’occasion pour annoncer une rencontre des pays producteurs courant avril à Abidjan, pour anticiper et voir ce qu’il faut faire pour peser sur le prix mondial du cacao. Cette rencontre se tiendra en marge du conseil de l’Organisation internationale du cacao (ICCO).
Selon le ministre ivoirien qui est rentré récemment d’une mission à Accra, ce périple a été mis à profit pour échanger avec son homologue ghanéen sur les actions à mener dans ce sens. « On ne peut pas contrôler plus de 60% (Côte d’Ivoire et Ghana, ndlr) de la production mondiale et subir le marché », a-t-il fait observer.
Avec plus de 1,7 million de tonnes de fèves commercialisées représentant 40% de la part globale, la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial du cacao. A 700 FCFA/kg, c’est 60,2% du prix CAF qui revient aux cacaoculteurs, a souligné jeudi le président du conseil d’administration du Conseil du café-cacao, Lambert Kouassi Konan, lors de la conférence de presse destinée à l’annonce du prix.
cmas
« Le gouvernement a décidé de renoncer à une partie de ses ressources publiques » pour fixer le prix à ce niveau, a révélé le ministre vendredi à Afrikland Hôtel de Grand-Bassam, à l’occasion du séminaire-bilan de son département.
Le ministre qui s’exprimait au lendemain de l’annonce du prix d’achat du cacao fixé à 700 FCFA pour la campagne intermédiaire (1er avril au 30 septembre), a rappelé que les cours de la fève ont chuté de 35% sur le marché international.
Pour la campagne principale qui s’achève, le cacao était acheté à 1 100 FCFA/kg bord champ. Le Président Alassane Ouattara ayant toujours donné des instructions pour que 60% du prix CAF revienne aux producteurs, souligne-t-on.
Sangafowa Coulibaly qui est également président de la 29ème conférence régionale pour l’Afrique de la FAO, a profité de l’occasion pour annoncer une rencontre des pays producteurs courant avril à Abidjan, pour anticiper et voir ce qu’il faut faire pour peser sur le prix mondial du cacao. Cette rencontre se tiendra en marge du conseil de l’Organisation internationale du cacao (ICCO).
Selon le ministre ivoirien qui est rentré récemment d’une mission à Accra, ce périple a été mis à profit pour échanger avec son homologue ghanéen sur les actions à mener dans ce sens. « On ne peut pas contrôler plus de 60% (Côte d’Ivoire et Ghana, ndlr) de la production mondiale et subir le marché », a-t-il fait observer.
Avec plus de 1,7 million de tonnes de fèves commercialisées représentant 40% de la part globale, la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial du cacao. A 700 FCFA/kg, c’est 60,2% du prix CAF qui revient aux cacaoculteurs, a souligné jeudi le président du conseil d’administration du Conseil du café-cacao, Lambert Kouassi Konan, lors de la conférence de presse destinée à l’annonce du prix.
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