La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du développement durable, Anne Désirée Oulotto, a annoncé la fin dans « les semaines à venir » des difficultés d’accès des habitants de Bianouan (département d’Adiaké) à l’eau potable, tout en les appelant au calme.
« Je voudrais les invités à l’apaisement, à faire confiance au gouvernement. Je les rassure que dans les semaines à venir les choses changeront », a déclaré Mme Oulotto, au sortir d’une audience avec le premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, vendredi.
Elle était venue faire le point d’une réunion de haut niveau sur l’environnement ouverte lundi à Abidjan, la COP 12. Elle conduisait une délégation de ministres ayant participé à l’activité.
La COP 12 est une convention signée en 1981 à Abidjan et qui réunit 22 Etats côtiers ayant décidé de traiter ensemble les difficultés inhérentes à leur positionnement géographique. Les ministres en charge de l’environnement de ces Etats ont pris part à la réunion d’Abidjan.
La ministre Oulotto a indiqué avoir eu une séance de travail avec son homologue ghanéen dont son pays a une responsabilité quelque peu est engagée dans les problèmes d’eau à Bianouan.
Les difficultés d’accès à l’eau potable dans cette localité sont, en effet, liées à la pollution par des activités d’orpaillage clandestin, depuis le Ghana voisin, des fleuves Bia et Tanoé alimentant la ville via une station d’épuration, signale-t-on.
« Nous avons eu une importante rencontre parallèle, dans le cadre de cette COP 12, avec notre frère et collègue du Ghana, ministre de l’environnement, nous avons eu une très belle réaction ce qui démontre l’engagement du Ghana à apporter une solution. Il nous a indiqué que des mesures vigoureuses ont été déjà prises. Très prochainement, nous verrons l’impact de ces décisions », a assuré la ministre de l’Environnement.
En attendant, des camions citernes de l’ONEP alimentent Bianouan depuis le déclenchement du problème.
(AIP)
« Je voudrais les invités à l’apaisement, à faire confiance au gouvernement. Je les rassure que dans les semaines à venir les choses changeront », a déclaré Mme Oulotto, au sortir d’une audience avec le premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, vendredi.
Elle était venue faire le point d’une réunion de haut niveau sur l’environnement ouverte lundi à Abidjan, la COP 12. Elle conduisait une délégation de ministres ayant participé à l’activité.
La COP 12 est une convention signée en 1981 à Abidjan et qui réunit 22 Etats côtiers ayant décidé de traiter ensemble les difficultés inhérentes à leur positionnement géographique. Les ministres en charge de l’environnement de ces Etats ont pris part à la réunion d’Abidjan.
La ministre Oulotto a indiqué avoir eu une séance de travail avec son homologue ghanéen dont son pays a une responsabilité quelque peu est engagée dans les problèmes d’eau à Bianouan.
Les difficultés d’accès à l’eau potable dans cette localité sont, en effet, liées à la pollution par des activités d’orpaillage clandestin, depuis le Ghana voisin, des fleuves Bia et Tanoé alimentant la ville via une station d’épuration, signale-t-on.
« Nous avons eu une importante rencontre parallèle, dans le cadre de cette COP 12, avec notre frère et collègue du Ghana, ministre de l’environnement, nous avons eu une très belle réaction ce qui démontre l’engagement du Ghana à apporter une solution. Il nous a indiqué que des mesures vigoureuses ont été déjà prises. Très prochainement, nous verrons l’impact de ces décisions », a assuré la ministre de l’Environnement.
En attendant, des camions citernes de l’ONEP alimentent Bianouan depuis le déclenchement du problème.
(AIP)