« L’arrivée d’un nouvel actionnaire ivoirien de référence comme la CNPS est une excellente nouvelle pour Eranove qui voit ses capacités de développement renforcées et une grande satisfaction pour Emerging Capital Partners dont l’ambition est d’accompagner des champions régionaux », a déclaré Vincent Le Guennou, co-CEO d’Emerging Capital Partners (ECP), l’actionnaire majoritaire du groupe Eranove, et président du Conseil d’administration d’Eranove.
«Cette opération valide la stratégie d’investisseur long terme d’ECP qui a levé plus de 850 millions de dollars ces cinq dernières années investis dans plusieurs sociétés africaines», a-t-il conclu dans un communiqué transmis à APA.
« Nous nous réjouissons de cette opération car elle renforce notre ancrage en Côte d’Ivoire et plus largement notre identité africaine. L’arrivée de ce partenaire institutionnel de référence est également une marque de confiance dans notre modèle économique et nos ambitions. L’entrée au capital de la CNPS renforce notre volonté de développer l’actionnariat africain », a ajouté Marc Albérola, Directeur général d’Eranove. L’arrivée de la CNPS vient en effet selon lui, augmenter l’actionnariat africain historique des managers, des salariés et d’investisseurs privés au sein du groupe Eranove.
« En tant qu’acteur qui contribue à la protection sociale de la population ivoirienne et qui dispose de capacités financières générées par la collecte des cotisations sociales, notre investissement au sein du groupe industriel panafricain Eranove répond à trois objectifs : promouvoir l’actionnariat ivoirien, mobiliser l’épargne disponible au profit du développement économique et social de la Côte d’Ivoire et générer des dividendes en vue d’améliorer la qualité des prestations servies à nos assurés sociaux », a pour sa part expliqué Denis Charles Kouassi, Directeur général de la CNPS.
Depuis 2015, le groupe Eranove, leader dans les secteurs de l’électricité et de l’eau en Afrique de l’Ouest, développe et opère de nombreux projets structurants pour le continent. En Côte d’Ivoire, un accord a été signé en septembre 2016 avec l’État de Côte d’Ivoire pour une nouvelle centrale électrique de 350 à 400 mégawatts (MW) reprenant la technologie du « cycle combiné » développée avec succès dans la 4e tranche de la centrale CIPREL (543 MW) mise en service, en janvier 2016.
Au Mali, le groupe Eranove a signé, en juin 2015, un contrat de concession de 30 ans pour la centrale hydroélectrique de Kenié (42 MW), sur le fleuve Niger à 35 km de Bamako. À Madagascar, Eranove co-développe avec le groupe Eiffage la centrale hydroélectrique de Sahofika (200 MW).
Au Gabon, plus récemment, un protocole d’accord a été signé le 21 mars 2017 avec les autorités pour la conception, le financement, la réalisation, l’exploitation et la maintenance une nouvelle usine de production et de traitement d’eau potable (140 000 m3 par jour) après avoir signé, en octobre 2016, deux contrats de concession relatifs aux deux centrales hydroélectriques de Ngoulmendjim (73 MW) et Dibwangui (15 MW).
« L’ensemble de ces projets apporte la démonstration de nos savoir-faire africains et de nos capacités à répondre aux défis de l’accès à l’eau et à l’électricité dans le cadre de partenariats avec les États », encore ajouté Marc Albérola.
« Au sein du groupe Eranove, nous sommes convaincus que l’Afrique peut tenir les nouveaux Objectifs de développement durable (ODD) d’ici à 2030 en matière d’accès à l’électricité et à l’eau, mais à condition de renforcer les synergies entre les puissances publiques, les opérateurs privés, les institutions financières internationales et les investisseurs, et en s’appuyant sur les retours d’expériences africaines. », a-t-il conclu.
LS/APA
«Cette opération valide la stratégie d’investisseur long terme d’ECP qui a levé plus de 850 millions de dollars ces cinq dernières années investis dans plusieurs sociétés africaines», a-t-il conclu dans un communiqué transmis à APA.
« Nous nous réjouissons de cette opération car elle renforce notre ancrage en Côte d’Ivoire et plus largement notre identité africaine. L’arrivée de ce partenaire institutionnel de référence est également une marque de confiance dans notre modèle économique et nos ambitions. L’entrée au capital de la CNPS renforce notre volonté de développer l’actionnariat africain », a ajouté Marc Albérola, Directeur général d’Eranove. L’arrivée de la CNPS vient en effet selon lui, augmenter l’actionnariat africain historique des managers, des salariés et d’investisseurs privés au sein du groupe Eranove.
« En tant qu’acteur qui contribue à la protection sociale de la population ivoirienne et qui dispose de capacités financières générées par la collecte des cotisations sociales, notre investissement au sein du groupe industriel panafricain Eranove répond à trois objectifs : promouvoir l’actionnariat ivoirien, mobiliser l’épargne disponible au profit du développement économique et social de la Côte d’Ivoire et générer des dividendes en vue d’améliorer la qualité des prestations servies à nos assurés sociaux », a pour sa part expliqué Denis Charles Kouassi, Directeur général de la CNPS.
Depuis 2015, le groupe Eranove, leader dans les secteurs de l’électricité et de l’eau en Afrique de l’Ouest, développe et opère de nombreux projets structurants pour le continent. En Côte d’Ivoire, un accord a été signé en septembre 2016 avec l’État de Côte d’Ivoire pour une nouvelle centrale électrique de 350 à 400 mégawatts (MW) reprenant la technologie du « cycle combiné » développée avec succès dans la 4e tranche de la centrale CIPREL (543 MW) mise en service, en janvier 2016.
Au Mali, le groupe Eranove a signé, en juin 2015, un contrat de concession de 30 ans pour la centrale hydroélectrique de Kenié (42 MW), sur le fleuve Niger à 35 km de Bamako. À Madagascar, Eranove co-développe avec le groupe Eiffage la centrale hydroélectrique de Sahofika (200 MW).
Au Gabon, plus récemment, un protocole d’accord a été signé le 21 mars 2017 avec les autorités pour la conception, le financement, la réalisation, l’exploitation et la maintenance une nouvelle usine de production et de traitement d’eau potable (140 000 m3 par jour) après avoir signé, en octobre 2016, deux contrats de concession relatifs aux deux centrales hydroélectriques de Ngoulmendjim (73 MW) et Dibwangui (15 MW).
« L’ensemble de ces projets apporte la démonstration de nos savoir-faire africains et de nos capacités à répondre aux défis de l’accès à l’eau et à l’électricité dans le cadre de partenariats avec les États », encore ajouté Marc Albérola.
« Au sein du groupe Eranove, nous sommes convaincus que l’Afrique peut tenir les nouveaux Objectifs de développement durable (ODD) d’ici à 2030 en matière d’accès à l’électricité et à l’eau, mais à condition de renforcer les synergies entre les puissances publiques, les opérateurs privés, les institutions financières internationales et les investisseurs, et en s’appuyant sur les retours d’expériences africaines. », a-t-il conclu.
LS/APA