Abidjan - La ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou Coffie, a procédé, mardi, au lancement officiel du projet de mentorat des sages-femmes, un programme de formation par les pairs pour infléchir les taux élevés de mortalité maternelle, néonatale et infantile en Côte d’Ivoire.
Le programme consiste à recruter 100 sages-femmes à la retraite ou en service, totalisant au moins 15 années d’expérience, appelées « Mentors ou Elders », et à les envoyer sur le terrain pour encadrer, coacher, former et accompagner sur site les sages-femmes encore en service dans les équipes des districts sanitaires. Il est piloté par la Direction des soins infirmiers et maternels (DSIM) et soutenu par l’OMS, l’UNICEF et l’UNFPA.
Lors de la cérémonie de lancement, le ministre de la Santé a souligné la nécessité de tendre vers de meilleurs indicateurs en matière de santé maternelle, néonatale et infantile, au regard de la situation actuelle qu'elle a reconnue « peu reluisante ».
« Le gouvernement fait beaucoup d’efforts pour qu’elle (la situation) s’améliore », a noté la ministre, se référant notamment au projet de mentorat, «un rêve devenu aujourd’hui réalité qui constitue un grand jalon dans l’histoire de la santé en Côte d’Ivoire».
Partageant la conviction que le projet se pose comme une des clés pour la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile, elle a salué l’expérience, la disponibilité, l’engagement et le dévouement des mentors retenus.
kg/fmo
Le programme consiste à recruter 100 sages-femmes à la retraite ou en service, totalisant au moins 15 années d’expérience, appelées « Mentors ou Elders », et à les envoyer sur le terrain pour encadrer, coacher, former et accompagner sur site les sages-femmes encore en service dans les équipes des districts sanitaires. Il est piloté par la Direction des soins infirmiers et maternels (DSIM) et soutenu par l’OMS, l’UNICEF et l’UNFPA.
Lors de la cérémonie de lancement, le ministre de la Santé a souligné la nécessité de tendre vers de meilleurs indicateurs en matière de santé maternelle, néonatale et infantile, au regard de la situation actuelle qu'elle a reconnue « peu reluisante ».
« Le gouvernement fait beaucoup d’efforts pour qu’elle (la situation) s’améliore », a noté la ministre, se référant notamment au projet de mentorat, «un rêve devenu aujourd’hui réalité qui constitue un grand jalon dans l’histoire de la santé en Côte d’Ivoire».
Partageant la conviction que le projet se pose comme une des clés pour la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile, elle a salué l’expérience, la disponibilité, l’engagement et le dévouement des mentors retenus.
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