Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le gouvernement ivoirien a dénoncé les accords de siège de deux institutions internationales pour des affaires qui «les discréditent et contreviennent» aux règles établies, a appris lundi APA dans la capitale économique ivoirienne.
Selon un communiqué de presse du ministère des affaires étrangères transmis à APA, la première dénonciation concerne « l’accord de siège signé entre le gouvernement de Côte d’Ivoire et l’organisation Mondiale pour l’économie et la technologie (OMET) ».
En effet, le gouvernement ivoirien avait signé un accord de siège avec cette structure précise le communiqué « dans le but de faciliter les activités de cette organisation et de ses agents non ivoiriens par l’octroi de privilèges et immunités.En contrepartie cette organisation devait s’abstenir de poser des actes contrevenant aux lois et règlements de notre pays ».
« En l’espace de 6 ans, l’organisation a été impliquée dans différents litiges notamment des actes d’escroqueries, des impayés des loyers, des émissions de chèques sans provisions, des impayés de factures et des abus de confiance », déplore la diplomatie ivoirienne.
Quant à la Société Mundial Telecom Service, « en l’espace de cinq ans, elle a été impliquée dans différents litiges notamment la corruption, le blanchiment d’argent dans plusieurs pays ».
Pour le ministère, ces affaires discréditent ces organisations et contreviennent aux dispositions des différents accords de de siège, d’où ces dénonciations.
SY/hs/ls
Selon un communiqué de presse du ministère des affaires étrangères transmis à APA, la première dénonciation concerne « l’accord de siège signé entre le gouvernement de Côte d’Ivoire et l’organisation Mondiale pour l’économie et la technologie (OMET) ».
En effet, le gouvernement ivoirien avait signé un accord de siège avec cette structure précise le communiqué « dans le but de faciliter les activités de cette organisation et de ses agents non ivoiriens par l’octroi de privilèges et immunités.En contrepartie cette organisation devait s’abstenir de poser des actes contrevenant aux lois et règlements de notre pays ».
« En l’espace de 6 ans, l’organisation a été impliquée dans différents litiges notamment des actes d’escroqueries, des impayés des loyers, des émissions de chèques sans provisions, des impayés de factures et des abus de confiance », déplore la diplomatie ivoirienne.
Quant à la Société Mundial Telecom Service, « en l’espace de cinq ans, elle a été impliquée dans différents litiges notamment la corruption, le blanchiment d’argent dans plusieurs pays ».
Pour le ministère, ces affaires discréditent ces organisations et contreviennent aux dispositions des différents accords de de siège, d’où ces dénonciations.
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