Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Directeur coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) en Côte d’Ivoire, Dr Antoine Tanoh Méa, a annoncé mardi la gratuité des soins du paludisme simple, lors d’une séance de travail avec la presse nationale dans les locaux du Pnlp à la Riviera Palmeraie, un quartier de Cocody, dans l’Est d’Abidjan.
« La prise en charge du paludisme simple est gratuite pour toutes les tranches d’âge, dans les structures sanitaires publiques en Côte d’Ivoire. Il n’est pas question de faire payer quoique ce soit aux patients», a dit Dr Antoine Tanoh Méa.
Le paludisme simple se manifeste cliniquement par une fièvre le plus souvent. Il n’y a pas de signes de gravité tels que le coma, l’hypoglycémie, l’acidose ou l’anémie.
En Côte d’Ivoire, le paludisme est la première cause de mortalité. Le nombre de cas de décès liés à cette maladie est passé de 4.077 en 2014 à 3.705 en 2016, soit une baisse de 372 cas de décès en deux ans.
Les personnes les plus vulnérables sont les enfants de 0 à 5 ans et les femmes enceintes. Ils constituent les cibles principales de cette lutte.
Les efforts du gouvernement ivoirien en termes de gratuité dans le traitement de cette maladie, ont permis de ramener la prévalence hospitalière de 50,17% en 2011 à 33% en 2015. Ce qui équivaut à une réduction de 17 points en 4 ans.
La 10ème Journée mondiale de lutte contre le paludisme est prévue le mardi 25 avril prochain. Le thème retenu cette année par l’OMS est, ‘’En finir pour de bon avec le paludisme’’.
PIG/ap/ls
« La prise en charge du paludisme simple est gratuite pour toutes les tranches d’âge, dans les structures sanitaires publiques en Côte d’Ivoire. Il n’est pas question de faire payer quoique ce soit aux patients», a dit Dr Antoine Tanoh Méa.
Le paludisme simple se manifeste cliniquement par une fièvre le plus souvent. Il n’y a pas de signes de gravité tels que le coma, l’hypoglycémie, l’acidose ou l’anémie.
En Côte d’Ivoire, le paludisme est la première cause de mortalité. Le nombre de cas de décès liés à cette maladie est passé de 4.077 en 2014 à 3.705 en 2016, soit une baisse de 372 cas de décès en deux ans.
Les personnes les plus vulnérables sont les enfants de 0 à 5 ans et les femmes enceintes. Ils constituent les cibles principales de cette lutte.
Les efforts du gouvernement ivoirien en termes de gratuité dans le traitement de cette maladie, ont permis de ramener la prévalence hospitalière de 50,17% en 2011 à 33% en 2015. Ce qui équivaut à une réduction de 17 points en 4 ans.
La 10ème Journée mondiale de lutte contre le paludisme est prévue le mardi 25 avril prochain. Le thème retenu cette année par l’OMS est, ‘’En finir pour de bon avec le paludisme’’.
PIG/ap/ls