Le général Issa Coulibaly, ministre des Eaux et Forêts a effectué le lundi 24 avril 2017 une visite de terrain sur les sites du jardin botanique dans la commune de Bingerville ainsi que le Zoo d’Abidjan.
Au Jardin botanique de Bingerville, première étape de cette mission d’inspection, une visite guidée du site a été faite sous la conduite du capitaine Coulibaly Sanga, premier responsable des lieux. Ce site, d’une superficie de 56 hectares, est confronté à plusieurs difficultés selon le capitaine Coulibaly. Au nombre de celles-ci, des installations illégales dont le centre de football Cyril Domoraud, et la mairie de Bingerville qui y a implanteé son service technique. On y trouve également 365 d’espèces végétales. De nombreuses essences d’arbres ont déjà été plantées dont celui du président de la République Alassane Ouattara.
Au Zoo d’Abidjan, la situation est identique avec des occupants anarchiques parmi lesquels des commerçants, des habitations et des lieux de culte. Sur les 19 hectares de superficie appartenant au Zoo d’Abidjan, patrimoine de l’Etat acquis en 1972 par un acte de rachat aux mains de Yvan Cholley, seulement 7 hectares font l’objet d’occupation par le Zoo. Au constat de ces réalités, le ministre Issa Coulibaly a pris la décision de mettre de l’ordre.
L’ancien patron des douanes ivoiriennes estime en effet que de telles occupations anarchiques et illégales dans le périmètre du domaine de l’Etat ne peuvent être tolérées indéfiniment : « Le Jardin botanique a une vocation pédagogique pour faire de la recherche et une vocation pour participer à la préservation de la biodiversité. Et à la faveur de la crise, les gens se sont introduits et ont développé des activités, une sorte d’économie au noir. Nous avons déjà écrit aux occupants pour leur demander de quitter les lieux au plus tard à la fin de l’année 2017. Le Jardin botanique doit retrouver la plénitude de toute sa superficie », a déclaré le ministre des Eaux et Forêts.
Puis, le ministre des Eaux et Forêts a indiqué ceci pour ce qui est du zoo : « Nous sommes venus les sensibiliser, car à un moment donné, nous passerons à la phase de répression. Il faut que ces personnes qui sont sur le domaine du Zoo partent de là, dans la mesure où il y a un plan de développement du Zoo. Les animaux se retrouvent de plus en plus à l’étroit. Le Zoo doit occuper tout l’espace qui lui est réservé parce qu’il a un titre foncier et il faut absolument que l’administration puisse exercer toute son activité sur cet espace qui lui est réservé. Il faut que force reste à la loi ».
EF
Au Jardin botanique de Bingerville, première étape de cette mission d’inspection, une visite guidée du site a été faite sous la conduite du capitaine Coulibaly Sanga, premier responsable des lieux. Ce site, d’une superficie de 56 hectares, est confronté à plusieurs difficultés selon le capitaine Coulibaly. Au nombre de celles-ci, des installations illégales dont le centre de football Cyril Domoraud, et la mairie de Bingerville qui y a implanteé son service technique. On y trouve également 365 d’espèces végétales. De nombreuses essences d’arbres ont déjà été plantées dont celui du président de la République Alassane Ouattara.
Au Zoo d’Abidjan, la situation est identique avec des occupants anarchiques parmi lesquels des commerçants, des habitations et des lieux de culte. Sur les 19 hectares de superficie appartenant au Zoo d’Abidjan, patrimoine de l’Etat acquis en 1972 par un acte de rachat aux mains de Yvan Cholley, seulement 7 hectares font l’objet d’occupation par le Zoo. Au constat de ces réalités, le ministre Issa Coulibaly a pris la décision de mettre de l’ordre.
L’ancien patron des douanes ivoiriennes estime en effet que de telles occupations anarchiques et illégales dans le périmètre du domaine de l’Etat ne peuvent être tolérées indéfiniment : « Le Jardin botanique a une vocation pédagogique pour faire de la recherche et une vocation pour participer à la préservation de la biodiversité. Et à la faveur de la crise, les gens se sont introduits et ont développé des activités, une sorte d’économie au noir. Nous avons déjà écrit aux occupants pour leur demander de quitter les lieux au plus tard à la fin de l’année 2017. Le Jardin botanique doit retrouver la plénitude de toute sa superficie », a déclaré le ministre des Eaux et Forêts.
Puis, le ministre des Eaux et Forêts a indiqué ceci pour ce qui est du zoo : « Nous sommes venus les sensibiliser, car à un moment donné, nous passerons à la phase de répression. Il faut que ces personnes qui sont sur le domaine du Zoo partent de là, dans la mesure où il y a un plan de développement du Zoo. Les animaux se retrouvent de plus en plus à l’étroit. Le Zoo doit occuper tout l’espace qui lui est réservé parce qu’il a un titre foncier et il faut absolument que l’administration puisse exercer toute son activité sur cet espace qui lui est réservé. Il faut que force reste à la loi ».
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