Abidjan - Ce sont près de 7 575 cas d’accidents de travail qui ont été enregistrés l’année dernière, rapporte une déclaration du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean Claude Kouassi, à l’occasion de la 15ième journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail et dont l’AIP a eu copie.
Citant la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS), ce taux est passé de 7 073 en 2014 et 7 394 en 2015 à 7 575 en 2016, indique le document. Quarante-huit cas de maladies professionnelles en 2016, 15 en 2014 et 34 en 2015 ont été également enregistrés.
Selon le Ministre Kouassi, la persistance des accidents de travail et des maladies professionnelles a un impact négatif sur l’économie des Etats et sur leur développement. « En Côte d’Ivoire, les charges de réparation des accidents de travail et des maladies professionnelles s’élèvent à trois milliards de francs CFA», a-t-il déclaré.
Le gouvernement a estimé que ces efforts devront être soutenus par l’adoption des stratégies et des outils modernes basés sur une saine évaluation des risques professionnels pour élaborer et mettre en œuvre des programmes de préventions plus adaptés.
D’ores et déjà, l’Etat de Côte d’Ivoire a institué des textes pour la pratique de l’hygiène et la sécurité dans le travail et compte faire l’état des lieux cette année.
bsb/fmo
Citant la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS), ce taux est passé de 7 073 en 2014 et 7 394 en 2015 à 7 575 en 2016, indique le document. Quarante-huit cas de maladies professionnelles en 2016, 15 en 2014 et 34 en 2015 ont été également enregistrés.
Selon le Ministre Kouassi, la persistance des accidents de travail et des maladies professionnelles a un impact négatif sur l’économie des Etats et sur leur développement. « En Côte d’Ivoire, les charges de réparation des accidents de travail et des maladies professionnelles s’élèvent à trois milliards de francs CFA», a-t-il déclaré.
Le gouvernement a estimé que ces efforts devront être soutenus par l’adoption des stratégies et des outils modernes basés sur une saine évaluation des risques professionnels pour élaborer et mettre en œuvre des programmes de préventions plus adaptés.
D’ores et déjà, l’Etat de Côte d’Ivoire a institué des textes pour la pratique de l’hygiène et la sécurité dans le travail et compte faire l’état des lieux cette année.
bsb/fmo