San Pedro- Le Ministère de la Femme, de la protection de l’Enfant et de la Solidarité et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) ont organisé à San Pedro un atelier de renforcement de capacités des moniteurs et des leaders locaux des régions de la Nawa, du Gbôklè et de San Pedro, sur le mécanisme d’alerte précoce de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale (OSCS).
L’atelier a permis mercredi de former 22 moniteurs et leaders locaux des trois régions aux différents mécanismes d’alertes précoces, notamment la compréhension des conflits, le système d’alerte précoce de l’ OSCS, l’usage des outils de prévention et de gestion pacifique des conflits, à savoir la médiation et la négociation.
Selon le Directeur général de l’ OSCS, Tiohozon Ibrahima Coulibaly, l’alerte précoce est une forme de prévention des conflits qui consiste en la collecte systématique des données, de signes d’alerte de conflit dont le traitement par la suite est fait dans le but de faire des recommandations pour maintenir un environnement paisible. Les leaders et moniteurs sont formés pour être plus performant sur le terrain, tant dans l’alerte que le règlement des conflits, a-t-on indiqué.
Créé par Décret n°2008-62 du 28 février 2008, l’ OSCS a été mis en place dans le cadre de l’application de l’Accord politique de Ouagadougou, en tant que « mesure préventive et corrective visant à consolider la réconciliation nationale, la paix et la sécurité des biens et des personnes ».
Le choix de ces régions pour cette formation, souligne-t-on, s’explique par le fait que les données collectées par le système d’alerte précoce de l’OSCS, de juillet 2016 à mi-février 2017, indiquent que deux zones géographiques enregistrent le plus de faits ou d’incidents susceptibles de nuire à l’expression de la solidarité et/ou à la cohésion sociale, notamment avec 57% de risque pour la zone sud (Divo, Sassandra et San Pedro), et 23% pour la zone ouest (Soubré, Daloa et Gagnoa).
jmk/kam
L’atelier a permis mercredi de former 22 moniteurs et leaders locaux des trois régions aux différents mécanismes d’alertes précoces, notamment la compréhension des conflits, le système d’alerte précoce de l’ OSCS, l’usage des outils de prévention et de gestion pacifique des conflits, à savoir la médiation et la négociation.
Selon le Directeur général de l’ OSCS, Tiohozon Ibrahima Coulibaly, l’alerte précoce est une forme de prévention des conflits qui consiste en la collecte systématique des données, de signes d’alerte de conflit dont le traitement par la suite est fait dans le but de faire des recommandations pour maintenir un environnement paisible. Les leaders et moniteurs sont formés pour être plus performant sur le terrain, tant dans l’alerte que le règlement des conflits, a-t-on indiqué.
Créé par Décret n°2008-62 du 28 février 2008, l’ OSCS a été mis en place dans le cadre de l’application de l’Accord politique de Ouagadougou, en tant que « mesure préventive et corrective visant à consolider la réconciliation nationale, la paix et la sécurité des biens et des personnes ».
Le choix de ces régions pour cette formation, souligne-t-on, s’explique par le fait que les données collectées par le système d’alerte précoce de l’OSCS, de juillet 2016 à mi-février 2017, indiquent que deux zones géographiques enregistrent le plus de faits ou d’incidents susceptibles de nuire à l’expression de la solidarité et/ou à la cohésion sociale, notamment avec 57% de risque pour la zone sud (Divo, Sassandra et San Pedro), et 23% pour la zone ouest (Soubré, Daloa et Gagnoa).
jmk/kam