Abidjan- Une délégation du ministère de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et de l’Organisation non gouvernementale Pelbien a séjourné du 26 au 29 avril à Bangolo et Duékoué, dans la perspective de réparations communautaires envisagées par ce ministère.
Selon Dr Kam Oleh, de la direction de l’assistance aux victimes, l’objectif de cette mission est d’impliquer les populations dans l’identification des formes de réparations communautaires eu égard aux préjudices subis lors des crises. « C’est un processus participatif et inclusif qui va s’étendre à toutes les régions du pays », a-t-il précisé.
Ces réparations communautaires comprennent un volet développement et un volet symbolique. « Le volet développement vise à réparer les dommages et à répondre aux besoins sociaux et économiques des communautés concernées. Quant à la dimension symbolique, elle vise à reconnaître le préjudice et à préserver la mémoire à travers l’organisation d’activités commémoratives et la construction de monuments commémoratifs », explique-t-il.
Au cours de cette visite, la délégation a échangé avec les autorités administratives, les élus locaux et cadres, les leaders communautaires et religieux, les chefs de village, les organisations de la société civile, les associations des femmes, des jeunes, les populations autochtones, allochtones et allogènes.
L’Etat a engagé le 04 août 2015, le processus de réparation individuelle des victimes des différentes crises survenues en Côte d’Ivoire. Les ayants-droits de 3500 personnes décédées et 1000 personnes blessées bénéficient de l’indemnisation dans le cadre de la phase pilote en voie d’achèvement, rapporte une note d’information du ministère transmise à l’AIP.
ti/cmas
Selon Dr Kam Oleh, de la direction de l’assistance aux victimes, l’objectif de cette mission est d’impliquer les populations dans l’identification des formes de réparations communautaires eu égard aux préjudices subis lors des crises. « C’est un processus participatif et inclusif qui va s’étendre à toutes les régions du pays », a-t-il précisé.
Ces réparations communautaires comprennent un volet développement et un volet symbolique. « Le volet développement vise à réparer les dommages et à répondre aux besoins sociaux et économiques des communautés concernées. Quant à la dimension symbolique, elle vise à reconnaître le préjudice et à préserver la mémoire à travers l’organisation d’activités commémoratives et la construction de monuments commémoratifs », explique-t-il.
Au cours de cette visite, la délégation a échangé avec les autorités administratives, les élus locaux et cadres, les leaders communautaires et religieux, les chefs de village, les organisations de la société civile, les associations des femmes, des jeunes, les populations autochtones, allochtones et allogènes.
L’Etat a engagé le 04 août 2015, le processus de réparation individuelle des victimes des différentes crises survenues en Côte d’Ivoire. Les ayants-droits de 3500 personnes décédées et 1000 personnes blessées bénéficient de l’indemnisation dans le cadre de la phase pilote en voie d’achèvement, rapporte une note d’information du ministère transmise à l’AIP.
ti/cmas