Abidjan- Le plan d’actions prioritaires 2017-2020 du ministère de la Culture et de la Francophonie a été validé, mercredi, au Palais de la Culture Bernard Blin Dadié de Treichville.
A l’issue des travaux, quatre axes stratégiques notamment l’amélioration de la gouvernance du secteur des Arts et de la Culture, le développement des industries culturelles et créatives, la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel et l’amélioration de la qualité de l’enseignement artistique et culturel ont été dégagés.
« Nous sommes conscients que les défis sont nombreux et que les ressources font défaut. C’est pourquoi, nous devons être imaginatif, mais en même temps, être conscients de ce que seules les actions les plus pertinentes ayant un impact sur la vie de nos concitoyens seront retenues », a déclaré le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama, précisant que ce séminaire qui s’inscrit dans la continuité de la politique générale du gouvernement vise à dégager l’ensemble des actions prioritaires qui doivent engager l’Institution de 2017 à 2020.
Le directeur de la planification, Coulibaly Lamine Mohamed a indiqué que l’objectif majeur de ce séminaire est de doter le ministère d’un plan d’action stratégique qui servira de boussole à toutes les directions et structures sous tutelle, ajoutant que le document final comportera le diagnostic global du secteur dégagé.
Au cours de ce séminaire, les responsables des directions et structures sous tutelle du ministère de la Culture et de la Francophonie notamment l’Office nationale du Cinéma (ONAC) et le Centre national des Arts et de la Culture (CENAC) ont identifié les problèmes du secteur, poser les diagnostics et proposer des solutions en vue de l’atteinte des objectifs et d’une meilleure prise en compte de ceux-ci.
Cette activité a été marquée également par l’inauguration du bloc administratif et de la salle cinéma du Palais de la Culture, souligne-t-on.
bbl/fmo
A l’issue des travaux, quatre axes stratégiques notamment l’amélioration de la gouvernance du secteur des Arts et de la Culture, le développement des industries culturelles et créatives, la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel et l’amélioration de la qualité de l’enseignement artistique et culturel ont été dégagés.
« Nous sommes conscients que les défis sont nombreux et que les ressources font défaut. C’est pourquoi, nous devons être imaginatif, mais en même temps, être conscients de ce que seules les actions les plus pertinentes ayant un impact sur la vie de nos concitoyens seront retenues », a déclaré le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama, précisant que ce séminaire qui s’inscrit dans la continuité de la politique générale du gouvernement vise à dégager l’ensemble des actions prioritaires qui doivent engager l’Institution de 2017 à 2020.
Le directeur de la planification, Coulibaly Lamine Mohamed a indiqué que l’objectif majeur de ce séminaire est de doter le ministère d’un plan d’action stratégique qui servira de boussole à toutes les directions et structures sous tutelle, ajoutant que le document final comportera le diagnostic global du secteur dégagé.
Au cours de ce séminaire, les responsables des directions et structures sous tutelle du ministère de la Culture et de la Francophonie notamment l’Office nationale du Cinéma (ONAC) et le Centre national des Arts et de la Culture (CENAC) ont identifié les problèmes du secteur, poser les diagnostics et proposer des solutions en vue de l’atteinte des objectifs et d’une meilleure prise en compte de ceux-ci.
Cette activité a été marquée également par l’inauguration du bloc administratif et de la salle cinéma du Palais de la Culture, souligne-t-on.
bbl/fmo