Gagnoa - La solution à l’emploi-jeunes aussi bien dans les secteurs secondaire que tertiaire, passe par la garantie d’une part, « même infime » de marché des collectivités et de l’administration à la chambre des métiers, a indiqué le président de ladite chambre pour le département de Gagnoa, CoulibalY Saïdou, jeudi, lors d’un entretien à l’AIP.
En contrepartie, les professionnels des différents corps de métiers dans les régions, regroupés au sein de la chambre des métiers, seront « contraints » au vu de la masse de travail, de moderniser ses activités, en recrutant une secrétaire pour gérer ses rendez-vous, un comptable pour sa gestion, des techniciens pour mener à bien ses contrats, et surtout, déclarer ses agents à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS).
Saïdou Coulibaly a assuré que le petit entrepreneur ne peut croitre, que si la chambre des métiers est véritablement associée aux activités et projets régionaux, ainsi qu’à la formation pratique dans les centres de formation. L’embauche des jeunes diplômés et techniciens, s’imposera, au vu du volume de travail, contrairement à la situation présente, où l’entrepreneur se contente d’être à la fois le secrétaire, le comptable, et assure seule la tâche manuelle.
« Tous ces jeunes gens, pour lesquels on parle d’emploi à longueur de journée, je ne crois pas que ce soit dans l’administration qu’on espère en insérer l’immense majorité », a martelé le président Coulibaly, pour qui le salut de l’emploi-jeune passe « inexorablement » par les Petites et moyennes entreprises (PME), dont l’immense majorité se retrouve dans la chambre des métiers.
La chambre des métiers a été créée en 1993. Elle a pour mission d’encadrer et regrouper les artisans pour en faire des agents de développement de l’économie Ivoirienne. La chambre de Gagnoa compte autour de 1000 membres, dans les huit grandes branches, reparties dans 247 corps de métiers.
(AIP)
dd/fmo
En contrepartie, les professionnels des différents corps de métiers dans les régions, regroupés au sein de la chambre des métiers, seront « contraints » au vu de la masse de travail, de moderniser ses activités, en recrutant une secrétaire pour gérer ses rendez-vous, un comptable pour sa gestion, des techniciens pour mener à bien ses contrats, et surtout, déclarer ses agents à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS).
Saïdou Coulibaly a assuré que le petit entrepreneur ne peut croitre, que si la chambre des métiers est véritablement associée aux activités et projets régionaux, ainsi qu’à la formation pratique dans les centres de formation. L’embauche des jeunes diplômés et techniciens, s’imposera, au vu du volume de travail, contrairement à la situation présente, où l’entrepreneur se contente d’être à la fois le secrétaire, le comptable, et assure seule la tâche manuelle.
« Tous ces jeunes gens, pour lesquels on parle d’emploi à longueur de journée, je ne crois pas que ce soit dans l’administration qu’on espère en insérer l’immense majorité », a martelé le président Coulibaly, pour qui le salut de l’emploi-jeune passe « inexorablement » par les Petites et moyennes entreprises (PME), dont l’immense majorité se retrouve dans la chambre des métiers.
La chambre des métiers a été créée en 1993. Elle a pour mission d’encadrer et regrouper les artisans pour en faire des agents de développement de l’économie Ivoirienne. La chambre de Gagnoa compte autour de 1000 membres, dans les huit grandes branches, reparties dans 247 corps de métiers.
(AIP)
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