Le Ministre Anne Désirée Ouloto a séjourné du 4 au 5 Mai 2017 à Genève, en Suisse, où s’est déroulée la session du Haut Segment Ministériel des Conférences des Parties aux Conventions de Bâle, Rotterdam et de Stockholm. A ce titre, le Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) a activement pris part à la réunion des Ministres et Ambassadeurs de la Région Afrique avec le bureau des experts des négociations du Groupe Africain, à la Table Ronde ministérielle du Haut Segment, à quatre rencontres bilatérales respectivement avec la branche de gestion des Produits Chimiques de l’ONU-Environnement, la branche post conflit, le Fonds de l’Environnement Mondial (FEM), à l’Approche Stratégique de la Gestion Internationale des Produits Chimiques et Déchets et à la séance de plénière de restitutions des travaux de la ronde ministérielle.
Les différentes discussions et négociations, il faut le noter, ont abouti à la position commune africaine dont les principaux intérêts défendus par l’Afrique sont l’inscription de nouvelles substances chimiques aux annexes des Conventions de Rotterdam et Stockholm, le renforcement des capacités des pays africains au travers des Centres Régionaux, pour l’amélioration des rapports de Plans Nationaux de Mise en œuvre des Conventions, la synergie des Conventions avec inscription de la Convention de Minamata sur le mercure avec les trois autres conventions (Bâle, Rotterdam et Stockholm) et la mise en conformité des Conventions dans les pays, et une Assistance Technique et financière pour la mise en œuvre efficace des Conventions.
A ces différentes tribunes, le Ministre ivoirien en charge de l’Environnement a mis l’accent sur l’expérience réussie de la Côte d’Ivoire dans le domaine du Partenariat Public-Privé comme levier essentiel pour la résolution de certains défis tel que celui de la gestion des produits chimiques et déchets dangereux. Selon Anne Ouloto, cette expérience repose sur l’implication des acteurs concernés par la problématique lors de la recherche des solutions et de mobilisation des ressources financières. L’approche a permis dans le cas des questions de violence basées sur le genre, du travail des enfants dans les champs de cacao d’obtenir l’appui du secteur privé dans la mobilisation des ressources financières et d’obtenir de bons résultats. Ce qui a conduit le Ministre à déduire que cette approche réussie peut se transposer à la gestion des produits chimiques et déchets tout en y apportant des améliorations nécessaires.
En marge de cette session on ne peut plus chargée, le MINSEDD s’est aménagé un temps pour recevoir en audience la délégation du Bureau du Secrétariat Exécutif des Conventions Bâle, Rotterdam et Stockholm conduite par Rolph Payet, Secrétaire Exécutif des trois conventions Bâle, Rotterdam, et Stockholm Mme Silja Halle, Chef de Projet Régional sur Audit Environnemental des sites contaminés par les déchets toxiques du Probo Koala dans le district d’Abidjan, Ibrahim Sow, Coordonnateur Régional Afrique du FEM/Produits Chimiques – Déchets – Membre du Comité de Direction de FEM ayant participé à plusieurs rencontres ministérielles avec le PDG du FEM et Jacob Duer, Principal superviseur de l’Approche Stratégique de la Gestion Internationale des Produits Chimiques et de la Convention de Minamata sur le mercure.
Il faut retenir essentiellement que Anne Ouloto a pu s’accorder avec les différents partenaires sur la date prévisionnelle de l’organisation de la COP2 de la Convention de Bamako durant la période du 16-20 octobre 2017, sur la nécessité de mobiliser les Ministres de l’Environnement pour la réussite de la COP2 de Bamako, notamment lors de la Conférence Africaine des Ministres de l’Environnement en juin prochain à Libreville au Gabon. Il a été également question de faire de la Convention de Bamako un outil précieux pour l’Afrique en vue de l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (Economie Circulaire/ODD12; Impacts des déchets sur la santé; Contamination des eaux de surface) et d’achever le document de collaboration ONU-Environnement – Côte d’Ivoire pour accélérer les actions majeures de protection de l’environnement et de santé humaine en matière de gestion des produits chimiques et déchets.
C’est donc satisfaite, d’avoir porté haut la voix de la Côte d’Ivoire à Genève, que l’autorité gouvernementale a regagné Abidjan dans la nuit du 5 mai 2017. Il faut souligner que la délégation qu’elle a conduite était composée de Prof. KOUADIO Kouamé Georges, Directeur Général de l’Environnement, Prof. BEDI Gustave, Point Focal de la Convention de Stockholm, Mme Vi née KOUADIO Amenan, Point Focal de la Convention de Rotterdam et que sur place elle a été jointe par l’ambassadeur ivoirien S.E.M ADJOUMANI et quelques fonctionnaires de la Représentation diplomatique en Suisse.
Les différentes discussions et négociations, il faut le noter, ont abouti à la position commune africaine dont les principaux intérêts défendus par l’Afrique sont l’inscription de nouvelles substances chimiques aux annexes des Conventions de Rotterdam et Stockholm, le renforcement des capacités des pays africains au travers des Centres Régionaux, pour l’amélioration des rapports de Plans Nationaux de Mise en œuvre des Conventions, la synergie des Conventions avec inscription de la Convention de Minamata sur le mercure avec les trois autres conventions (Bâle, Rotterdam et Stockholm) et la mise en conformité des Conventions dans les pays, et une Assistance Technique et financière pour la mise en œuvre efficace des Conventions.
A ces différentes tribunes, le Ministre ivoirien en charge de l’Environnement a mis l’accent sur l’expérience réussie de la Côte d’Ivoire dans le domaine du Partenariat Public-Privé comme levier essentiel pour la résolution de certains défis tel que celui de la gestion des produits chimiques et déchets dangereux. Selon Anne Ouloto, cette expérience repose sur l’implication des acteurs concernés par la problématique lors de la recherche des solutions et de mobilisation des ressources financières. L’approche a permis dans le cas des questions de violence basées sur le genre, du travail des enfants dans les champs de cacao d’obtenir l’appui du secteur privé dans la mobilisation des ressources financières et d’obtenir de bons résultats. Ce qui a conduit le Ministre à déduire que cette approche réussie peut se transposer à la gestion des produits chimiques et déchets tout en y apportant des améliorations nécessaires.
En marge de cette session on ne peut plus chargée, le MINSEDD s’est aménagé un temps pour recevoir en audience la délégation du Bureau du Secrétariat Exécutif des Conventions Bâle, Rotterdam et Stockholm conduite par Rolph Payet, Secrétaire Exécutif des trois conventions Bâle, Rotterdam, et Stockholm Mme Silja Halle, Chef de Projet Régional sur Audit Environnemental des sites contaminés par les déchets toxiques du Probo Koala dans le district d’Abidjan, Ibrahim Sow, Coordonnateur Régional Afrique du FEM/Produits Chimiques – Déchets – Membre du Comité de Direction de FEM ayant participé à plusieurs rencontres ministérielles avec le PDG du FEM et Jacob Duer, Principal superviseur de l’Approche Stratégique de la Gestion Internationale des Produits Chimiques et de la Convention de Minamata sur le mercure.
Il faut retenir essentiellement que Anne Ouloto a pu s’accorder avec les différents partenaires sur la date prévisionnelle de l’organisation de la COP2 de la Convention de Bamako durant la période du 16-20 octobre 2017, sur la nécessité de mobiliser les Ministres de l’Environnement pour la réussite de la COP2 de Bamako, notamment lors de la Conférence Africaine des Ministres de l’Environnement en juin prochain à Libreville au Gabon. Il a été également question de faire de la Convention de Bamako un outil précieux pour l’Afrique en vue de l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (Economie Circulaire/ODD12; Impacts des déchets sur la santé; Contamination des eaux de surface) et d’achever le document de collaboration ONU-Environnement – Côte d’Ivoire pour accélérer les actions majeures de protection de l’environnement et de santé humaine en matière de gestion des produits chimiques et déchets.
C’est donc satisfaite, d’avoir porté haut la voix de la Côte d’Ivoire à Genève, que l’autorité gouvernementale a regagné Abidjan dans la nuit du 5 mai 2017. Il faut souligner que la délégation qu’elle a conduite était composée de Prof. KOUADIO Kouamé Georges, Directeur Général de l’Environnement, Prof. BEDI Gustave, Point Focal de la Convention de Stockholm, Mme Vi née KOUADIO Amenan, Point Focal de la Convention de Rotterdam et que sur place elle a été jointe par l’ambassadeur ivoirien S.E.M ADJOUMANI et quelques fonctionnaires de la Représentation diplomatique en Suisse.