Plusieurs centaines d'anciens rebelles démobilisés bloquaient lundi matin l'accès sud de la ville de Bouaké, dans le centre de la Côte d'Ivoire, point de départ des mutineries qui ont secoué le pays en janvier, a constaté un journaliste de l' AFP sur place.
« On veut nôtre part du gâteau », scandaient ces hommes qui arboraient de bandeaux rouges de l’ex rébellion du nord mais ne sont pas armés. Une centaine de véhicules étaient bloqués à l’entrée de la deuxième ville du pays. Des forces de sécurité surveillent le mouvement mais pour l’instant sans intervenir.
Les « démobilisés », comme on les surnomme, sont des anciens des Forces nouvelles, la rébellion qui a occupé le nord de la Côte d’Ivoire de 2002 à 2011 et soutenu l’actuel président... suite de l'article sur Jeune Afrique
« On veut nôtre part du gâteau », scandaient ces hommes qui arboraient de bandeaux rouges de l’ex rébellion du nord mais ne sont pas armés. Une centaine de véhicules étaient bloqués à l’entrée de la deuxième ville du pays. Des forces de sécurité surveillent le mouvement mais pour l’instant sans intervenir.
Les « démobilisés », comme on les surnomme, sont des anciens des Forces nouvelles, la rébellion qui a occupé le nord de la Côte d’Ivoire de 2002 à 2011 et soutenu l’actuel président... suite de l'article sur Jeune Afrique