Quelque six points de revendications et une demande d’audience adressée au président de la République Alassane Ouattara ont été déposés, lundi après-midi, sur la table des autorités préfectorales de Bouaké (Centre-Nord ivoirien) par des ex-combattants qui, dans la même matinée avaient dressé des barricades au Corridor sud de la ville, fermant la circulation pendant plus de 4 heures d’horloge (6H00 à 10H20) sur cette voie internationale.
Il s’agit entre autres selon le porte-parole adjoint de ces ex-combattants, Amadou Ouattara, de la question concernant ‘’la prime dite Ecomog de 12 millions de francs CFA’’ qui devra être versée pour chacun des ‘’6 000’’ ex-combattants ainsi que de la réinsertion de plus de jeunes dans le corps des paramilitaires ou dans l’administration publique.
‘’Nous demandons également la reconnaissance de notre grade de caporal avec les indemnités et les rappels s’y afférents de 2007 à 2012 et la prise en charge effective de nos blessés de guerre’’, a poursuivi M. Ouattara avant d’insister sur les deux derniers points.
‘’Nous demandons que la lumière soit faite sur la disparition d’un des nôtres, notamment Koné Yssouf qui a été arrêté depuis 2013 et dont nous n’avons eu aucune information jusqu’à ce jour. Et enfin nous demandons l’ouverture d’une enquête (judiciaire) pour déterminer les causes de la mort brutale et anormale de Bangaly Cissé dit Blindé (un ex-leader de la Cellule 39) qui avait été arrêté après une manifestation’’, a conclu Amadou Ouattara.
CK/ls/APA
Il s’agit entre autres selon le porte-parole adjoint de ces ex-combattants, Amadou Ouattara, de la question concernant ‘’la prime dite Ecomog de 12 millions de francs CFA’’ qui devra être versée pour chacun des ‘’6 000’’ ex-combattants ainsi que de la réinsertion de plus de jeunes dans le corps des paramilitaires ou dans l’administration publique.
‘’Nous demandons également la reconnaissance de notre grade de caporal avec les indemnités et les rappels s’y afférents de 2007 à 2012 et la prise en charge effective de nos blessés de guerre’’, a poursuivi M. Ouattara avant d’insister sur les deux derniers points.
‘’Nous demandons que la lumière soit faite sur la disparition d’un des nôtres, notamment Koné Yssouf qui a été arrêté depuis 2013 et dont nous n’avons eu aucune information jusqu’à ce jour. Et enfin nous demandons l’ouverture d’une enquête (judiciaire) pour déterminer les causes de la mort brutale et anormale de Bangaly Cissé dit Blindé (un ex-leader de la Cellule 39) qui avait été arrêté après une manifestation’’, a conclu Amadou Ouattara.
CK/ls/APA