Abidjan, 14 mai (AIP) - "Je laisse un pays dans un état bien meilleur que celui que j'ai trouvé", a affirmé dimanche à midi l'ancien président de la République François Hollande qui s'est exprimé depuis le siège du Parti socialiste, quelques minutes après avoir passé le relais à Emmanuel Macron.
Dans son premier discours après l’Elysée, prononcé au siège du Part socialiste, rue de Solférino dans le 7e arrondissement de Paris, François Hollande a exprimé la satisfaction d’avoir laissé le pays dans un état bien meilleur que celui qu’il a trouvé en 2012, en succédant à Nicolas Sarkozy.
Déposé en voiture à l’angle de la rue de Lille et de la rue de Solférino, celui qui a dirigé le Parti socialiste de 1997 à 2008 a parcouru à pied les derniers mètres jusqu’à l’entrée du siège du parti, entre deux haies de militants et sympathisants qui l’ont chaleureusement applaudi.
Accueilli par le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis, l’ancien président de la République s’est livré à une forme de bilan de son mandat.
« J’ai exercé pendant cinq ans la présidence de la République dans des épreuves terribles qui ont saisi notre pays de stupeur. Nous avons vécu des crises et là encore nous avons tenu bon. La France est restée la France », a rappelé M. Hollande.
Il a mis l’accent sur l’accord « historique » sur le climat signé à Paris en décembre 2015, le mariage pour tous voté en mai 2013, sa satisfaction d’avoir tout fait pour permettre à la Grèce de rester dans l’Europe, son rôle marqué par le terrorisme ces dernières années. « C’est toujours à la gauche qu’il appartient de faire avancer le progrès social et de permettre le redressement économique », a-t-il fait valoir.
François Hollande a surtout appelé le Parti socialiste au sursaut après la débâcle de son candidat Benoît Hamon à la présidentielle. « Je vous appelle vraiment à inventer, à imaginer l’avenir que vous devez présenter à notre peuple, à ne pas vous abandonner à l’incantation, à l’illusion, ne pas céder à la confusion », a-il lancé, certain que « ce beau mot de socialisme durera et perdurera ».
Deux des trois anciens premiers ministres, Jean-Marc Ayrault et Bernard Cazeneuve, étaient présents avec quelques ex-membres du gouvernement sortant dont Stéphane Le Foll, Myriam El Khomri et Juliette Méadel.
(AIP)
cmas
Dans son premier discours après l’Elysée, prononcé au siège du Part socialiste, rue de Solférino dans le 7e arrondissement de Paris, François Hollande a exprimé la satisfaction d’avoir laissé le pays dans un état bien meilleur que celui qu’il a trouvé en 2012, en succédant à Nicolas Sarkozy.
Déposé en voiture à l’angle de la rue de Lille et de la rue de Solférino, celui qui a dirigé le Parti socialiste de 1997 à 2008 a parcouru à pied les derniers mètres jusqu’à l’entrée du siège du parti, entre deux haies de militants et sympathisants qui l’ont chaleureusement applaudi.
Accueilli par le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis, l’ancien président de la République s’est livré à une forme de bilan de son mandat.
« J’ai exercé pendant cinq ans la présidence de la République dans des épreuves terribles qui ont saisi notre pays de stupeur. Nous avons vécu des crises et là encore nous avons tenu bon. La France est restée la France », a rappelé M. Hollande.
Il a mis l’accent sur l’accord « historique » sur le climat signé à Paris en décembre 2015, le mariage pour tous voté en mai 2013, sa satisfaction d’avoir tout fait pour permettre à la Grèce de rester dans l’Europe, son rôle marqué par le terrorisme ces dernières années. « C’est toujours à la gauche qu’il appartient de faire avancer le progrès social et de permettre le redressement économique », a-t-il fait valoir.
François Hollande a surtout appelé le Parti socialiste au sursaut après la débâcle de son candidat Benoît Hamon à la présidentielle. « Je vous appelle vraiment à inventer, à imaginer l’avenir que vous devez présenter à notre peuple, à ne pas vous abandonner à l’incantation, à l’illusion, ne pas céder à la confusion », a-il lancé, certain que « ce beau mot de socialisme durera et perdurera ».
Deux des trois anciens premiers ministres, Jean-Marc Ayrault et Bernard Cazeneuve, étaient présents avec quelques ex-membres du gouvernement sortant dont Stéphane Le Foll, Myriam El Khomri et Juliette Méadel.
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