La ministre ivoirienne de l’Education nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Kandia Camara, a soutenu samedi qu’"en Côte d’Ivoire, personne n’est jeté en prison pour ses opinions politiques", lors du lancement d’une plateforme de solidarité et de développement, au Foyer des jeunes de Marcory, dans le sud d’Abidjan
"En Côte d’Ivoire, personne n’est arrêté et jeté en prison pour ses opinions politiques", a dit Mme Kandia Camara, expliquant que "quand un homme politique commet un délit, il va en prison" conformément aux textes de lois.
La ministre de l’Education nationale, invitée d’honneur du Forum des amis pour la solidarité et le développement (Fasd), s’exprimait après une conférence sur la solidarité, au cours de laquelle un participant a évoqué la question de prisonniers politiques.
Selon elle, "il y a un amalgame" sur la question de prisonnier politique, car la loi ne dispense pas les hommes politiques quand ils enfreignent aux dispositions légales du pays ou commettent des crimes.
Elle a souligné que M. Sébastien Dano Djédjé, ex-ministre de la Réconciliation nationale sous l’ère Gbagbo, est un "ami", mais comparait devant le tribunal pour des raisons de "troubles à l’ordre public".
M. Dano Djédjé et deux autres cadres du parti de Gbagbo, notamment Nestor Dahi et Justin Koua, étaient devant le tribunal correctionnel d’Abidjan vendredi dernier. Leur procès a été renvoyé au 26 mai 2017.
Mme Kandia Camara a insisté qu’"il n’y a pas de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire", faisant observer que le prisonnier politique est celui qui est incarcéré pour ses opinions politiques.
PIG/ap/ls/APA
"En Côte d’Ivoire, personne n’est arrêté et jeté en prison pour ses opinions politiques", a dit Mme Kandia Camara, expliquant que "quand un homme politique commet un délit, il va en prison" conformément aux textes de lois.
La ministre de l’Education nationale, invitée d’honneur du Forum des amis pour la solidarité et le développement (Fasd), s’exprimait après une conférence sur la solidarité, au cours de laquelle un participant a évoqué la question de prisonniers politiques.
Selon elle, "il y a un amalgame" sur la question de prisonnier politique, car la loi ne dispense pas les hommes politiques quand ils enfreignent aux dispositions légales du pays ou commettent des crimes.
Elle a souligné que M. Sébastien Dano Djédjé, ex-ministre de la Réconciliation nationale sous l’ère Gbagbo, est un "ami", mais comparait devant le tribunal pour des raisons de "troubles à l’ordre public".
M. Dano Djédjé et deux autres cadres du parti de Gbagbo, notamment Nestor Dahi et Justin Koua, étaient devant le tribunal correctionnel d’Abidjan vendredi dernier. Leur procès a été renvoyé au 26 mai 2017.
Mme Kandia Camara a insisté qu’"il n’y a pas de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire", faisant observer que le prisonnier politique est celui qui est incarcéré pour ses opinions politiques.
PIG/ap/ls/APA