Près de 27 millions d’utilisateurs de GSM en 2017 contre 11 millions en 2011 et 10 millions d’utilisateurs d’internet contre 200 000 en 2011 tels sont les résultats révélés par les statistiques de l’Agence Régulation des Télécoms en Côte d’Ivoire (ARTCI). Ces données qui sont d’une importance cruciale ont amené l’Agence National des Services Universels et Tics et le ministère de la communication, de la poste et de l’économie numérique à vouloir dématérialiser les procédures administratives depuis 2015.
À l’issue des travaux, un rapport a été remis ce mardi 23 mai au ministre Bruno Koné à son cabinet à Abidjan-Plateau. " Ces travaux effectués depuis 2015 suite aux recommandations de l’Onu pourront accroître le positionnement de la maturité numérique pour la Côte d’Ivoire" a annoncé Euloge-Kipea Soro, directeur général de l’ANSUT.
Au regard de l’utilisation quotidienne des services du numérique dans l’administration ivoirienne comme dans la vie courante des Ivoiriens, l’on peut dire en toute tranquillité que l’État de Côte d’Ivoire n’est pas resté en marge de l’explosion des services liés au numérique. Plusieurs Ivoiriens utilisent aujourd’hui les services de transaction d’argent des téléphonies mobile par exemple. Le volume actuel des transactions Mobile Money en Côte d’Ivoire s’élève à 17 milliards de francs CFA par jour. C’est ce qu’a déclaré René Tano, cadre de la BICICI, filiale de BNP Paribas, intervenant lors de la première journée du Forum de la monnaie et du paiement électronique à Casablanca, au Maroc. Citant comme source l’Autorité de régulation des télécommunications en Côte d’Ivoire (ARTCI).
Pour le ministre Koné Bruno, notre pays a pour ambition de faire en sorte que les Tics aident au développement du Pays et améliorent les conditions de vie des populations.
Selon lui, il faut accélérer le développement des usages. " Il nous faut très vite dématérialiser au maximum les procédures administratives de l’état de Côte d’Ivoire" a-t-il conseillé. Au regard des tonnes de documents et autres dossiers que stocks les administrations et surtout les longs fils d’attentes que connaissent les usagers, le ministre a insisté sur une dématérialisation rapide des procédures.
"L’État ne doit plus demander aux citoyens les documents qu’il produit ou qu’il détient. Tout cela doit être possible grâce à la dématérialisation’, conclut-il.
Il faut noter que sur les 300 projets de dématérialisation prévus pour 2020, 45 ont été déjà réalisés pour jusqu’à ce jour et 70 en cours pour la fin d’année. Ces projets touchent tous les secteurs à savoir l’état-civil, le service judiciaire, la santé, l’éducation et bien d’autres.
CK
À l’issue des travaux, un rapport a été remis ce mardi 23 mai au ministre Bruno Koné à son cabinet à Abidjan-Plateau. " Ces travaux effectués depuis 2015 suite aux recommandations de l’Onu pourront accroître le positionnement de la maturité numérique pour la Côte d’Ivoire" a annoncé Euloge-Kipea Soro, directeur général de l’ANSUT.
Au regard de l’utilisation quotidienne des services du numérique dans l’administration ivoirienne comme dans la vie courante des Ivoiriens, l’on peut dire en toute tranquillité que l’État de Côte d’Ivoire n’est pas resté en marge de l’explosion des services liés au numérique. Plusieurs Ivoiriens utilisent aujourd’hui les services de transaction d’argent des téléphonies mobile par exemple. Le volume actuel des transactions Mobile Money en Côte d’Ivoire s’élève à 17 milliards de francs CFA par jour. C’est ce qu’a déclaré René Tano, cadre de la BICICI, filiale de BNP Paribas, intervenant lors de la première journée du Forum de la monnaie et du paiement électronique à Casablanca, au Maroc. Citant comme source l’Autorité de régulation des télécommunications en Côte d’Ivoire (ARTCI).
Pour le ministre Koné Bruno, notre pays a pour ambition de faire en sorte que les Tics aident au développement du Pays et améliorent les conditions de vie des populations.
Selon lui, il faut accélérer le développement des usages. " Il nous faut très vite dématérialiser au maximum les procédures administratives de l’état de Côte d’Ivoire" a-t-il conseillé. Au regard des tonnes de documents et autres dossiers que stocks les administrations et surtout les longs fils d’attentes que connaissent les usagers, le ministre a insisté sur une dématérialisation rapide des procédures.
"L’État ne doit plus demander aux citoyens les documents qu’il produit ou qu’il détient. Tout cela doit être possible grâce à la dématérialisation’, conclut-il.
Il faut noter que sur les 300 projets de dématérialisation prévus pour 2020, 45 ont été déjà réalisés pour jusqu’à ce jour et 70 en cours pour la fin d’année. Ces projets touchent tous les secteurs à savoir l’état-civil, le service judiciaire, la santé, l’éducation et bien d’autres.
CK