Dimbokro - Le correspondant du journal « Le Nouveau Réveil » dans les régions du N’zi-Iffou-Moronou, Koffi Tano Henry, a déposé sa plume, emporté, mercredi en fin de soirée, par une maladie.
Il est décédé au centre hospitalier universitaire (CHU) de Yopougon, à Abidjan, où il avait été admis quelques heures auparavant, a appris l’AIP, jeudi auprès de sa famille.
Homme travailleur, affable, sans histoire, appelé affectueusement « la dose » ou « l’international local » à Dimbokro en raison du fait qu’il est toujours en mission pour le compte de son journal dans les différentes contrées des trois régions, Tano Henry, bien connu de tous, est mort dans la fleur de l’âge, à peine 40 ans, après cinq jours de maladie.
Koffi Tano Henri fait ses premiers pas dans la presse en 2005, en entrant à "Le Nouveau Réveil" qu'il a servi pendant une douzaine d'années avec loyauté et abnégation. Il était considéré dans la région comme l'un des "doyens et tuteurs" de la presse de presque tous les correspondants des autres organes qui y exercent. Il laisse derrière lui une veuve et des enfants.
ik/cmas
Il est décédé au centre hospitalier universitaire (CHU) de Yopougon, à Abidjan, où il avait été admis quelques heures auparavant, a appris l’AIP, jeudi auprès de sa famille.
Homme travailleur, affable, sans histoire, appelé affectueusement « la dose » ou « l’international local » à Dimbokro en raison du fait qu’il est toujours en mission pour le compte de son journal dans les différentes contrées des trois régions, Tano Henry, bien connu de tous, est mort dans la fleur de l’âge, à peine 40 ans, après cinq jours de maladie.
Koffi Tano Henri fait ses premiers pas dans la presse en 2005, en entrant à "Le Nouveau Réveil" qu'il a servi pendant une douzaine d'années avec loyauté et abnégation. Il était considéré dans la région comme l'un des "doyens et tuteurs" de la presse de presque tous les correspondants des autres organes qui y exercent. Il laisse derrière lui une veuve et des enfants.
ik/cmas