GUESSIHIO-GAGNOA. Mgr Maurice Konan Kouassi a présidé la messe d’institution au ministère de l’acolytat, en présence des parents et amis des séminaristes.
Le samedi 13 mai dernier, la chapelle Notre dame de Guessihio-Gagnoa a accueilli la cérémonie d’institution au ministère de l’acolytat de 17 grands séminaristes en 3ème année de Théologie du Grand séminaire Notre dame de Guessihio. Ces nouveaux acolytes sont issus, en majorité, des 15 diocèses que compte l’Eglise catholique en Côte d’Ivoire. Cette cérémonie a été présidée par Mgr Maurice Konan Kouassi, évêque de Daloa. En présence d’un collège de prêtres, religieux et des parents, amis et connaissances, venus soutenir leurs fils dans le sacerdoce. Dans son homélie, l’évêque de Daloa a fait savoir à ses filleuls ce que l’Eglise attend d’eux. « L’Eglise notre Mère vous invite à une mission particulière. Elle vous invite à accueillir dans votre être le dépouillement du Christ-Serviteur et à endosser le balluchon du pèlerin avec ces deux seules armes : la Parole de Dieu et l’Eucharistie ». A la suite de l’homélie, les candidats séminaristes ont été présentés par le père recteur Daruis Assandé Ekou. Cette présentation a été suivie par le rite d’institution. Par ailleurs, chaque candidat a reçu une patène contenant le pain et le calice, le vin, accompagnés des paroles du prélat : « Recevez ce pain et cette coupe de vin pour la célébration de l’eucharistie, et montrez-vous dignes de servir la table du Seigneur et de l’Église ». Le recteur du grand séminaire a exprimé sa joie de voir des séminaristes aborder une étape importante de leur vie. En guise de conseils, il leur a demandé d’être des fidèles amoureux du service de l’autel et de l’Eglise. Le séminariste Henri Michel Boni, un des acolytes, a rendu grâce au Seigneur, à travers ce nouveau ministère que lui confère la sainte Eglise catholique romaine. Il estime que c’est une nouvelle charge qu’il compte assumer avec joie, humilité et amour. Pour finir, il a remercié son évêque, Mgr Alexis Youlo Touabli, les prêtres et formateurs. « Dans le cadre de la formation sacerdotale, fait indiquer, en 1972, Paul VI, dans un Motu Proprio, ils constituent une préparation aux deux « ordres majeurs », le diaconat et la prêtrise. Ainsi donc, l’acolyte, devra se préparer de manière particulière à s’approcher de la table eucharistique ; il pourra aider le diacre dans ses fonctions : répartir la sainte eucharistie pendant la messe, purifier les vases sacrés, apporter la communion aux malades. L’acolyte, destiné particulièrement au service de l’autel, doit s’initier à tout ce qui se rapporte au culte public de Dieu et s’appliquer à en pénétrer le sens intime et spirituel… ». Les 17 séminaristes devront attendre, au moins deux ans, pour être ordonnés diacres.
Par C. Douah (Info : Henri .M)
Le samedi 13 mai dernier, la chapelle Notre dame de Guessihio-Gagnoa a accueilli la cérémonie d’institution au ministère de l’acolytat de 17 grands séminaristes en 3ème année de Théologie du Grand séminaire Notre dame de Guessihio. Ces nouveaux acolytes sont issus, en majorité, des 15 diocèses que compte l’Eglise catholique en Côte d’Ivoire. Cette cérémonie a été présidée par Mgr Maurice Konan Kouassi, évêque de Daloa. En présence d’un collège de prêtres, religieux et des parents, amis et connaissances, venus soutenir leurs fils dans le sacerdoce. Dans son homélie, l’évêque de Daloa a fait savoir à ses filleuls ce que l’Eglise attend d’eux. « L’Eglise notre Mère vous invite à une mission particulière. Elle vous invite à accueillir dans votre être le dépouillement du Christ-Serviteur et à endosser le balluchon du pèlerin avec ces deux seules armes : la Parole de Dieu et l’Eucharistie ». A la suite de l’homélie, les candidats séminaristes ont été présentés par le père recteur Daruis Assandé Ekou. Cette présentation a été suivie par le rite d’institution. Par ailleurs, chaque candidat a reçu une patène contenant le pain et le calice, le vin, accompagnés des paroles du prélat : « Recevez ce pain et cette coupe de vin pour la célébration de l’eucharistie, et montrez-vous dignes de servir la table du Seigneur et de l’Église ». Le recteur du grand séminaire a exprimé sa joie de voir des séminaristes aborder une étape importante de leur vie. En guise de conseils, il leur a demandé d’être des fidèles amoureux du service de l’autel et de l’Eglise. Le séminariste Henri Michel Boni, un des acolytes, a rendu grâce au Seigneur, à travers ce nouveau ministère que lui confère la sainte Eglise catholique romaine. Il estime que c’est une nouvelle charge qu’il compte assumer avec joie, humilité et amour. Pour finir, il a remercié son évêque, Mgr Alexis Youlo Touabli, les prêtres et formateurs. « Dans le cadre de la formation sacerdotale, fait indiquer, en 1972, Paul VI, dans un Motu Proprio, ils constituent une préparation aux deux « ordres majeurs », le diaconat et la prêtrise. Ainsi donc, l’acolyte, devra se préparer de manière particulière à s’approcher de la table eucharistique ; il pourra aider le diacre dans ses fonctions : répartir la sainte eucharistie pendant la messe, purifier les vases sacrés, apporter la communion aux malades. L’acolyte, destiné particulièrement au service de l’autel, doit s’initier à tout ce qui se rapporte au culte public de Dieu et s’appliquer à en pénétrer le sens intime et spirituel… ». Les 17 séminaristes devront attendre, au moins deux ans, pour être ordonnés diacres.
Par C. Douah (Info : Henri .M)