ARCHIDIOCESE D’ABIDJAN. Le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan a instruit 25 représentants des mouvements et associations.
Le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan (Cdla) a organisé, le samedi 20 mai 2017, à l’externat saint Paul, au Plateau, une réunion de travail et d’informations. Et ce, en présence du père Joseph Zebi Louga, directeur diocésain des œuvres catholiques d’Abidjan, autorité de tutelle et de supervision du Cdla. Il était question, selon Mme Jacqueline Kacou, Présidente du Cdla, de faire connaître davantage la structure dont elle a la charge et qui a été créée depuis 20O7. Mais également de permettre un échange entre les associations, mouvements, fraternités et le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan. Dont le Cdla est l’émanation. « C’est une plateforme d’échanges. On voulait faire connaitre d’abord le conseil diocésain du laïcat qui a été créé depuis 2007, mais qui est resté au stade embryonnaire parce qu’il fallait d’abord que ceux qui étaient au-devant s’approprient eux-mêmes le concept, qu’ils sachent exactement le contenu et les attentes du concile du Vatican II qui l’a inspiré », a expliqué Mme Jacqueline Kacou. Pour qui « le temps est arrivé pour nous faire connaitre, afin d’être actif dans l’Eglise en tant que structure d’accompagnement, de rassemblement des mouvements qui animent l’activité pastorale, en tant que laïcs dans l’Église catholique ». Au dire de Mme Kacou, le Cdla a été institué afin que les laïcs, qui ne sont pas membres de l’ordre sacré (diacre et prêtre), mais qui sont des chrétiens incorporés à l’Eglise par le baptême, puissent mieux faire le travail d’évangélisation. C’est pourquoi elle s’est réjouie de la présence de 25 représentants des mouvements et associations de l’Archidiocèse d’Abidjan qui ont participé activement aux travaux en atelier. Le thème central de cette réunion de travail était en rapport avec la vocation des membres de ces mouvements, qui est celle d’être « sel » et « lumière » dans l’Eglise. Il s’est agit également pour, les quatre commissions, d’évoquer des sujets qui cadrent avec l’objectif de la rencontre qui est de faire connaître le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan. Par ailleurs, les laïcs ont été amenés à identifier, en tant que baptisés et confirmés, les valeurs non négociables pour être « sel et lumière » dans le monde. Le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan se heurte à quelques difficultés pour réussir sa noble mission qui est d’être un lieu de dialogue, de rencontre au profit de l’apostolat laïc. « En terme de défis, dans l’activité du laïcat, il y a un problème qui est récurrent, c’est le manque de moyens parce qu’aujourd’hui la parole se porte, se communique, mais, elle a un coût. L’activité pastorale a un coût à tous les niveaux. C’est un gros défi de pouvoir trouver les moyens financiers, », a confié la Présidente du Cdla.
Par Serge Armand Didi
Le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan (Cdla) a organisé, le samedi 20 mai 2017, à l’externat saint Paul, au Plateau, une réunion de travail et d’informations. Et ce, en présence du père Joseph Zebi Louga, directeur diocésain des œuvres catholiques d’Abidjan, autorité de tutelle et de supervision du Cdla. Il était question, selon Mme Jacqueline Kacou, Présidente du Cdla, de faire connaître davantage la structure dont elle a la charge et qui a été créée depuis 20O7. Mais également de permettre un échange entre les associations, mouvements, fraternités et le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan. Dont le Cdla est l’émanation. « C’est une plateforme d’échanges. On voulait faire connaitre d’abord le conseil diocésain du laïcat qui a été créé depuis 2007, mais qui est resté au stade embryonnaire parce qu’il fallait d’abord que ceux qui étaient au-devant s’approprient eux-mêmes le concept, qu’ils sachent exactement le contenu et les attentes du concile du Vatican II qui l’a inspiré », a expliqué Mme Jacqueline Kacou. Pour qui « le temps est arrivé pour nous faire connaitre, afin d’être actif dans l’Eglise en tant que structure d’accompagnement, de rassemblement des mouvements qui animent l’activité pastorale, en tant que laïcs dans l’Église catholique ». Au dire de Mme Kacou, le Cdla a été institué afin que les laïcs, qui ne sont pas membres de l’ordre sacré (diacre et prêtre), mais qui sont des chrétiens incorporés à l’Eglise par le baptême, puissent mieux faire le travail d’évangélisation. C’est pourquoi elle s’est réjouie de la présence de 25 représentants des mouvements et associations de l’Archidiocèse d’Abidjan qui ont participé activement aux travaux en atelier. Le thème central de cette réunion de travail était en rapport avec la vocation des membres de ces mouvements, qui est celle d’être « sel » et « lumière » dans l’Eglise. Il s’est agit également pour, les quatre commissions, d’évoquer des sujets qui cadrent avec l’objectif de la rencontre qui est de faire connaître le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan. Par ailleurs, les laïcs ont été amenés à identifier, en tant que baptisés et confirmés, les valeurs non négociables pour être « sel et lumière » dans le monde. Le Conseil diocésain du laïcat d’Abidjan se heurte à quelques difficultés pour réussir sa noble mission qui est d’être un lieu de dialogue, de rencontre au profit de l’apostolat laïc. « En terme de défis, dans l’activité du laïcat, il y a un problème qui est récurrent, c’est le manque de moyens parce qu’aujourd’hui la parole se porte, se communique, mais, elle a un coût. L’activité pastorale a un coût à tous les niveaux. C’est un gros défi de pouvoir trouver les moyens financiers, », a confié la Présidente du Cdla.
Par Serge Armand Didi